Adieu les cons

Un film manifique comme sait les faire Albert Dupontel, très profond, Virginie Efira, est lumineuse. Un grand bonheur. Après "Au revoir là-haut", un chef d'oeuvre je craignais un film "facile", il n'en n'est rien, " au revoir les cons" est un très bon film. Merci Mr Dupontel, vous faites du bien au cinéma français et à l'art.

Comme d’habitude Albert Dupontel nous surprend et nous émerveille. Son dernier film est tout simplement très réussi et très drôle, intelligent et palpitant. Chapeau M. Dupontel !

Bof. Pour pas dire nul... où est Bernie?

Déçu, vraiment lourdeau, pas drôle, pas fin... Nous sommes quand restés jusqu'à la fin espérant une amélioration mais non hélas !!!!!

Très drôle.
On passe un bon moment.

Un cadre supérieur responsable de la sécurité informatique (Albert Dupontel) à l'état civil ne supporte pas d'être mis sur le banc à cause de ces méthodes trop brutales et doit former de jeunes recrues pour le remplacer. Du coup il organise dans son bureau son propre suicide enregistré sur un pc mais le coup rate et la balle atteint un collègue en ayant transpercé le mur. S'ensuit une course folle avec son super pc réseau car les policiers sont à ses trousses et il embarque une femme (Virginie Efira) venue chercher des indices pour retrouver son fils qu'elle a eu à 15 ans mais qu'une femme a kidnappé. Le couple aidé d'un archiviste aveugle (Nicolas Marié) s'embarque dans une course poursuite infernale et rocambolesque notamment l'archiviste prenant le volant de la voiture et endommagera quelques voitures au passage.

La scène finale ou Dupontel avec son super pc arrive à bloquer un quartier de tours de bureaux est assez bien vue. Très bon casting pour ce film qui rend hommage au Monty Python en faisant jouer dans un petit rôle Terry Gilliam et s'inspire des films de Marc Caro et Jean Pierre Jeunet.

Une sacrée parodie du monde numérique. Très bon film également. A voir.

Certes, le trait est forcé et le film parfois lourdingue. Mais on aime la sincérité d'Albert Dupontel.
Et puis, il y a Virginie Efira...

Un chef d’œuvre, le monde moderne dans toute son horreur.
Dupontel metteur en scène génial.

"Adieu les cons" humour, poésie, belle satire de cette époque de merde .
Très bon film. Virginie Efira est belle et émouvante, Nicolas Marié excellent, drôle, Dupontel évidemment formidable.

Une fable satirique et émouvante, empreinte de folie douce et d'un réalisme effrayant.
Pas vraiment une comédie, plutôt le reflet de l'évolution de notre société.
Excellents jeux d'acteurs.
A voir.

Etonnant, épatant, assez critique et humoristique sur certains services sociaux et une virginie EFFIRA (entre autre) émouvante...
bref, a voir absolument? D'ailleurs, nous allons y retourner... et probablement même acheter le DVD.

J'ai pas aimé. J'aime bien Albert, dommage.

L'univers de DUPONTEL est particulier. Un peu de poésie dans ce monde de brutes. Les acteurs campent parfaitement leur personnages avec douceur et avec un humanisme rédempteur.
C'est aussi la réalité du monde du travail où, passé 50 ans, on n'est plus rien et on se retrouve seul face à l'implacable "gestion des ressources humaines" qui n'a d'humain que son intitulé. Face au manque de solidarité on peut envisager une issue terrible. Ce film traite de ces sujets avec bienveillance et les personnages sont touchants.
A voir absolument.

Beaucoup aimé film ce film !

On avait bien aimé "Au revoir là-haut" mais ce pauvre (enfin façon de parler... il en brasse) Albert, bientôt sexagénaire mais toujours aussi peu sexy, nous rejoue sa crise post-ado/post-Apocalypse.
La réalisation est correcte, le casting aussi, et on rigole un peu dans le 1er tiers, suit un pallier en mode "film d'action" avec le hacking d'une tour plutôt réussi... puis la stérilité de l'indécrottable nihilisme prend le dessus et on abandonne nos zéros sur leur parking.
Le contexte actuel (des suicidaires choisissent de noyer leurs 2 neurones dans tout type de passage à l'acte) ajoute malaise à la médiocrité de ce qui s'avère une bouffonnerie pour dépressifs.
On s'abstiendra sans regret aucun.