Anora

De Sean Baker (2024)
Cinémas Comédie dramatique 2h19

Réalisation : Sean Baker
Principaux artistes : Mikey Madison, Mark Eydelshteyn, Youri Borisov, Karren Karagulian
Genre : Comédie dramatique
Nationalité : Etats-Unis
Langue de tournage : Anglais
Durée : 2h19
Année de production : 2024
Date de sortie (ou ressortie) : 30 octobre 2024
Distributeur : Le Pacte

Présentation

Anora, jeune strip-teaseuse de Brooklyn, se transforme en Cendrillon des temps modernes quand elle rencontre le fils d'un oligarque russe. Sans réfléchir, elle épouse avec enthousiasme son prince charmant. Mais lorsque la nouvelle parvient en Russie, le conte de fées est vite menacé : les parents du jeune homme partent pour New York avec la ferme intention de faire annuler le mariage.

Avec son nouveau film Anora, Sean Baker présente une nouvelle variation du mythe de Cendrillon, important dans son cinéma. À l'origine du projet, il y a la collaboration entre le cinéaste et l'acteur Karren Karagulian, avec qui il travaille depuis près de 25 ans. « Cela faisait un bon moment que je voulais trouver une histoire pour Karren Karagulian. Je souhaitais raconter une histoire qui se déroule dans les milieux russophones de la région de Brighton Beach/Coney Island (péninsule située au sud de New York), étant donné que Karren a des attaches dans cette communauté », explique Sean Baker. Anora a remporté la Palme d'or du Festival de Cannes en 2024.

Anora : la distribution

Réalisation : Sean Baker

Casting : Mikey Madison (Ani), Mark Eydelshteyn (Ivan), Youri Borisov (Igor), Karren Karagulian (Toros), Vache Tovmasyan (Garnick), Ivy Wolk (Crystal), Aleksey Serebryakov (Nikolai Zakharov), Lindsey Normington (Diamond), Darya Ekamasova (Galina Zakharov), Emily Weider (Nikki), Alena Gurevich (Clara), Luna Miranda (Lulu)

Distribution technique : Sean Baker (scénario), Drew Daniels (direction artistique)

Sean Baker a écrit et réalisé Anora. Précédemment, Sean Baker a aussi réalisé Red Rocket en 2021, The Florida Project en 2017, Tangerine en 2015 et Starlet en 2012.

Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Mikey Madison dans Scream (2021) et Youri Borisov dans Maman, je suis à la maison! (2021) et Le Capitaine Volkonogov s'est échappé (2021).

Derniers avis sur le film : Anora

Avis publié par Christophe le 12 janvier 2025

Agréablement surpris par sa fraicheur et son humour pendant une bonne partie du film. Et la dernière scène fait réfléchir...
Très bien joué, divertissant et intelligent : une bonne Palme finalement. J'ai hésité deux mois avant d'y aller, laissez-vous tenter si comme moi vous hésitez.

Avis publié par MADDALUNO le 30 décembre 2024

Une stripteaseuse charme un jeune Russe à New York au point d'aller se marier à Las Vegas. En apprenant son mariage avec elle, son tuteur arménien se charge de les séparer mais il s'enfuit. Recherche jour et nuit dans les bars, restaurants et night clubs pour le retrouver car ses parents arrivent à midi le lendemain. Un film en trois parties qui ressemble parfois à du Quentin Tarentino. L'idée de montrer une jeunesse de gosses de riches est déjà vue ensuite le basculement genre polar puis la partie sentimentale fait varier le genre du film. Assez bien sans plus. On peut ne pas le voir.

Avis publié par Patrick le 27 novembre 2024

Adoubé par la critique et considéré comme le cinéaste d’une certaine Amérique des marges et de la précarité, Sean Baker atteint le sommet en recevant pour Anora la Palme d’Or à Cannes. Découpé en trois fragments qu’on peut ainsi résumer : la rencontre, la traque et la négociation, le film se veut un conte de fées moderne construit sur l’improbable mariage entre une strip-teaseuse et le fils d’un oligarque russe qui doit bientôt rejoindre son pays et sa famille. Un mariage que cette dernière ne goûte guère et s’empresse de vouloir annuler.
La lunette d’observation de Baker paraît avoir réduit sa focale : nous sommes ici dans un microcosme, celui des escort girls chargées de faire payer un max les clients et d’une diaspora russe richissime et très puissante. Il n’est pas certain que nous puissions en tirer de grandes conclusions sur la situation d’un pays.
Annoncé comme divertissant, sinon déjanté, Anora qui ne craint pas la longueur se révèle vite un soufflé peu goûteux qui se dégonfle rapidement, entraînant du coup le désintérêt et l’ennui du spectateur. Anora, dont on ne sait au final si elle poursuit une chimère romantique ou envisage de tirer profit d’une opportunité inattendue, et Ivan, gamin gâté et complètement immature, ne sont jamais vraiment touchants. Quand les sbires russes entrent en scène, on espère enfin rire. On reste là aussi sur notre faim. L’arrivée tardive et efficace de la famille de Ivan ne dynamitera pas davantage un ensemble particulièrement faible.
Le conte de fées ne porte aucune morale ni aucun espoir. Les motivations sont à chercher du côté des objectifs mercantiles ou d’une fête permanente où l’argent permet tout. Plus que jamais, il est le nerf de la guerre. Le désenchantement est profond. Il reste aux parias à faire front et à s’unir d’une manière ou d’une autre. Deux heures vingt minutes pour en arriver là, c’est vraiment beaucoup et terriblement décevant dans la pauvre imagination que cela révèle.

Avis publié par Isabelle le 27 novembre 2024

Une comédie dramatique de classe mi drôle mi émouvante qui peut lasser le spectateur par ses longueurs !!!

Avis publié par Jeremy le 12 novembre 2024

Film sympathique avec quelques séquences trop longues, comme celle dans l'appartement avec l'arrivée du parrain. Scénario original mais manque de créativité.

Dernier article en relation

Publié le 28 octobre 2024 [Cinémas]

Filmant les contradictions de l'Amérique, Sean Baker montre un pays toujours à mi-chemin entre le parc d'attractions et la jungle. Palme d'or du Festival de Cannes 2024.

Paris 3
MK2 Beaubourg
50 rue Rambuteau
Paris 3e
VO
10:10 16:30 21:30
Paris 5,6
Les 3 Luxembourg
67 rue Monsieur-le-Prince
Paris 6e
VO
21:10
Paris 14
Miramar
3 rue du Départ
Paris 14e
VO
21:00
Paris 15
Pathé Convention
27 rue Alain-Chartier
Paris 15e
VO
10:00
Paris 18
Pathé Wepler
140 boulevard de Clichy
Paris 18e
VO
21:45
Banlieue 77
Gaumont Disney Village
accès par l'autoroute A4, Esplanade François-Truffaut
77700 Chessy
14:00
Banlieue 92
Pathé Levallois
C. commercial SO Ouest, 28 rue d'Alsace
92300 Levallois-Perret
VO
18:30
Paris 3
MK2 Beaubourg
50 rue Rambuteau
Paris 3e
VO
10:10 16:30 21:30
Paris 5,6
Grand Action
5 rue des Écoles
Paris 5e
VO
20:50
Paris 9
Pathé Palace
2 bd des Capucines
Paris 9e
19:15
Paris 14
Miramar
3 rue du Départ
Paris 14e
VO
21:00
Paris 15
Pathé Convention
27 rue Alain-Chartier
Paris 15e
VO
21:30
Banlieue 77
Pathé Dammarie
824 Avenue du Lys
77190 Dammarie-lès-Lys
18:35
Banlieue 94
Pathé Quai d'Ivry
2 quai Marcel-Boyer
94200 Ivry-sur-Seine
VO
13:00
Paris 3
MK2 Beaubourg
50 rue Rambuteau
Paris 3e
VO
10:10 16:30 21:30
Paris 5,6
Les 3 Luxembourg
67 rue Monsieur-le-Prince
Paris 6e
VO
20:55
Paris 9
Pathé Palace
2 bd des Capucines
Paris 9e
22:00
Paris 12
UGC Ciné Cité Bercy
2 cour Saint-Émilion
Paris 12e
VO
09:40 12:30 15:20 18:10 21:00
Paris 13
Pathé Les Fauvettes
58 avenue des Gobelins
Paris 13e
VO
16:10
Paris 14
Miramar
3 rue du Départ
Paris 14e
VO
13:15
Paris 15
Pathé Convention
27 rue Alain-Chartier
Paris 15e
VO
18:40
Paris 18
Pathé Wepler
140 boulevard de Clichy
Paris 18e
VO
13:10
Studio 28
10 rue Tholozé
Paris 18e
VO
20:50
Banlieue 77
Gaumont Disney Village
accès par l'autoroute A4, Esplanade François-Truffaut
77700 Chessy
13:50
Banlieue 92
Pathé Boulogne
Grand Place
92100 Boulogne-Billancourt
VO
10:15
UGC Ciné Cité La Défense
Le Dôme, CC Les Quatre Temps
92800 La Défense
VF
11:15 14:30 17:30
VO
20:30
Banlieue 93
UGC Ciné Cité O'Parinor
Le Haut de Galy, Centre commercial O'Parinor
93600 Aulnay-sous-Bois
VF
11:15 14:30 17:30
VO
20:30
Pathé Saint-Denis
accès par A1 ou A86, sortie Stade de France, 8 rue du Mondial 1998
93200 Saint-Denis
15:45
Paris 3
MK2 Beaubourg
50 rue Rambuteau
Paris 3e
VO
10:10 16:30 21:30
Paris 5,6
UGC Montparnasse
83 boulevard du Montparnasse
Paris 6e
VO
15:15 20:15
Paris 13
Pathé Les Fauvettes
58 avenue des Gobelins
Paris 13e
VO
18:20
Paris 14
Miramar
3 rue du Départ
Paris 14e
VO
15:10
Banlieue 77
Gaumont Disney Village
accès par l'autoroute A4, Esplanade François-Truffaut
77700 Chessy
11:40
UGC Le Majestic
5 place Henri IV
77100 Meaux
VO
17:45 20:45
Banlieue 78
UGC Ciné Cité Parly
Centre commercial Parly 2. 2, avenue Charles de Gaulle
78150 Le Chesnay
VO
15:30 20:30
UGC Ciné Cité SQY Ouest
Guyancourt, Centre Commercial Régional SQY Ouest
78180 Montigny-le-Bretonneux
VO
13:00 15:50 18:40 21:30
UGC Plaisir
1170 avenue de Saint-Germain - Centre commercial Mon Grand Plaisir
78370 Plaisir
VO
16:00 20:45
UGC Ciné Cité Vélizy
2 avenue de l’Europe. Centre commercial Vélizy 2
78140 Vélizy-Villacoublay
VO
14:30 17:30 20:30
Banlieue 92
UGC Issy-les-Moulineaux
8 promenade cœur de ville
92130 Issy-les-Moulineaux
VO
15:50 20:30
Banlieue 93
UGC Ciné Cité Noisy-le-Grand
Centre des Arcades
93160 Noisy-le-Grand
VO
11:00 17:15 20:15
UGC Ciné Cité Rosny
A 3 ou A 86 sortie Centre commercial, 16 rue Conrad-Adenauer
93110 Rosny-sous-Bois
VO
11:00 13:40 16:20 19:00 21:40
Pathé Aéroville
Hatimont, Rue des buissons
93290 Tremblay-en-France
19:00
Banlieue 94
UGC Ciné Cité Créteil
Centre Créteil Soleil
94000 Créteil
VO
11:00 14:15 17:15 20:15
Banlieue 95
UGC Ciné Cité Cergy-le-Haut
8 place des 3 Gares
95000 Cergy
VO
14:00 17:30 20:30

16 avis sur Anora

Avis publié par Christophe le 12 janvier 2025

Agréablement surpris par sa fraicheur et son humour pendant une bonne partie du film. Et la dernière scène fait réfléchir...
Très bien joué, divertissant et intelligent : une bonne Palme finalement. J'ai hésité deux mois avant d'y aller, laissez-vous tenter si comme moi vous hésitez.

Avis publié par MADDALUNO le 30 décembre 2024

Une stripteaseuse charme un jeune Russe à New York au point d'aller se marier à Las Vegas. En apprenant son mariage avec elle, son tuteur arménien se charge de les séparer mais il s'enfuit. Recherche jour et nuit dans les bars, restaurants et night clubs pour le retrouver car ses parents arrivent à midi le lendemain. Un film en trois parties qui ressemble parfois à du Quentin Tarentino. L'idée de montrer une jeunesse de gosses de riches est déjà vue ensuite le basculement genre polar puis la partie sentimentale fait varier le genre du film. Assez bien sans plus. On peut ne pas le voir.

Avis publié par Patrick le 27 novembre 2024

Adoubé par la critique et considéré comme le cinéaste d’une certaine Amérique des marges et de la précarité, Sean Baker atteint le sommet en recevant pour Anora la Palme d’Or à Cannes. Découpé en trois fragments qu’on peut ainsi résumer : la rencontre, la traque et la négociation, le film se veut un conte de fées moderne construit sur l’improbable mariage entre une strip-teaseuse et le fils d’un oligarque russe qui doit bientôt rejoindre son pays et sa famille. Un mariage que cette dernière ne goûte guère et s’empresse de vouloir annuler.
La lunette d’observation de Baker paraît avoir réduit sa focale : nous sommes ici dans un microcosme, celui des escort girls chargées de faire payer un max les clients et d’une diaspora russe richissime et très puissante. Il n’est pas certain que nous puissions en tirer de grandes conclusions sur la situation d’un pays.
Annoncé comme divertissant, sinon déjanté, Anora qui ne craint pas la longueur se révèle vite un soufflé peu goûteux qui se dégonfle rapidement, entraînant du coup le désintérêt et l’ennui du spectateur. Anora, dont on ne sait au final si elle poursuit une chimère romantique ou envisage de tirer profit d’une opportunité inattendue, et Ivan, gamin gâté et complètement immature, ne sont jamais vraiment touchants. Quand les sbires russes entrent en scène, on espère enfin rire. On reste là aussi sur notre faim. L’arrivée tardive et efficace de la famille de Ivan ne dynamitera pas davantage un ensemble particulièrement faible.
Le conte de fées ne porte aucune morale ni aucun espoir. Les motivations sont à chercher du côté des objectifs mercantiles ou d’une fête permanente où l’argent permet tout. Plus que jamais, il est le nerf de la guerre. Le désenchantement est profond. Il reste aux parias à faire front et à s’unir d’une manière ou d’une autre. Deux heures vingt minutes pour en arriver là, c’est vraiment beaucoup et terriblement décevant dans la pauvre imagination que cela révèle.

Avis publié par Isabelle le 27 novembre 2024

Une comédie dramatique de classe mi drôle mi émouvante qui peut lasser le spectateur par ses longueurs !!!

Avis publié par Jeremy le 12 novembre 2024

Film sympathique avec quelques séquences trop longues, comme celle dans l'appartement avec l'arrivée du parrain. Scénario original mais manque de créativité.

Avis publié par laurence le 10 novembre 2024

Trop longues les scènes de striptease, pour moi, il n'était pas nécessaire de projeter aussi longtemps les scènes en avant, en arrière, etc... ne méritait pas la palme d'or

Avis publié par Catherine le 6 novembre 2024

J’ai beaucoup aimé.
Le démarrage un peu lent.
Mais un film qui résume bien la lutte des classes et l'argent qui transforme un être.

Avis publié par adam le 6 novembre 2024

Franchement, on a tout vu dans la bande annonce !

Avis publié par Laure le 4 novembre 2024

Un film plein d’illusions et de désillusions, de personnages irrésistibles de drôlerie.

Avis publié par Yann le 3 novembre 2024

Un film si humain, drôle et tragique, superficiel et profond, fait d’espoir et de déception, tous les contrastes de nos existences ici magnifiquement exprimés.

Avis publié par Salles-cinema.com le 3 novembre 2024

Illusions et désillusions d'une jeune escort girl lorsqu'elle rencontre le fils d'un oligarque russe. Entre comédie et drame, un regard plus subtil qu'il en a l'air sur le rêve américain contrarié. Mikey Madison excellente.

Avis publié par Claudia le 1er novembre 2024

Il faut aller au-delà des apparences et des clichés (Cendrillon) et des caricatures (les riches russes). Pour moi, le film montre à la fois les comportements de jeunes perdus soit parce que pourris par l'argent, soit parce qu'à la recherche de la richesse, et celui des riches qui ont le pouvoir, font ce qu'ils veulent et les autres subissent. Universel !
Mais les images sont belles et bien filmées.

Avis publié par Xavier le 31 octobre 2024

De nombreux spectateurs, notamment ceux qui n'ont pas eu le plaisir de voir ses précédentes œuvres, se laisseront avoir par la promo cendrillonesque, très boule à facettes, délibérément facétieuse du dernier Sean Baker.

Anora n'est bien sûr pas un compte de fées (même si le clin d'œil au genre est évident) mais pas non plus un film à théories. L'œuvre traite de l'ambivalence de nos personnalités. De cette dualité, de cette pluralité que nous avons en nous et qui est issue des entraves que sont la nécessaire poursuite de nos moyens de subsistance et de perpétuation matérielle, sociale ou affective, et de notre dépendance aux autres pour les obtenir.

Ces entraves à nous-mêmes, extérieures et intérieures, nous les choisissons souvent délibérément. Elles nous transforment, nous confrontent peu à peu, contredisent les certitudes que nous pensons avoir sur nous-mêmes et sur les autres.

En choisissant des personnages de marges, diamétralement opposés dans leurs statuts mais qui se rejoignent à l'intersection de leurs dépendances, Sean Baker tente de démontrer l'universalité de notre ambivalence et de nos dysfonctionnements affectifs, familiaux, sociaux. Une ambivalence qui au fil du temps aboutit aussi au déni d'une partie, sinon de la plus grande part, de nous-même.

Le film donne à voir, sous couvert d'une comédie burlesque souvent irrésistible qui est la patte de Baker, la persistance que nous mettons à croire en nos désirs factices et en l'idée que nous nous faisons de nous-mêmes. Et la difficulté d'y trouver une échappatoire sous peine d'être condamné à les subir et à les fuir alternativement.

Se rendre compte de nos oripeaux passe souvent par une révélation, une épiphanie. En l'occurrence ici, un révélateur qui se tient en embuscade. Un personnage dont l'attirance sincère, ne pouvant être démontrée et surtout crue en étant simplement dite, passera à la caméra par la seule beauté pure de ses yeux d'azur.

Anora accueillera-t-elle ce désir authentique, seul à même de faire voler en éclats -et en sanglots- l'objectification dans laquelle s'est elle-même emmurée avec le personnage d'Ani ?
La réponse à la question en allant voir cet excellent opus de S. Baker.

Pour les Parisiens et Franciliens (de passage ou non), les précédentes œuvres de Baker sont toujours programmées en salles d'art et d'essai et sont chaudement recommandées.

Avis publié par Remy le 30 octobre 2024

Ça vole ras-la-touffe avec un certain brio et un humour salé durant les 3 premiers quarts d’heure du film, après on s’ennuie très ferme pendant presque une heure faute de scénario captivant, puis on finit par un mélodrame peu réjouissant. C’est pourtant ce film qui a obtenu la Palme d’Or à Cannes cette année…

Avis publié par Cleo le 30 octobre 2024

Les montagnes russes sentimentales sur fond de lutte des classes et de critique du capitalisme sauvage.

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