Astérix aux Jeux Olympiques

Alafolix, un jeune Gaulois nigaud mais poète, est amoureux fou de la princesse grecque Irina. Lorsque cette dernière découvre qu'il est l'auteur des vers sirupeux qui ont su toucher son cœur, elle est conquise elle aussi. Mais elle est promise par son père à Brutus, le fils de César. Brutus est laid, prétentieux et ridicule. Pour gagner du temps, Irina réussi à convaincre son père de faire s'affronter Alafolix et Brutus aux Jeux Olympiques : elle promet d'épouser le vainqueur. Alafolix n'a aucune chance de gagner les épreuves sans un peu de potion magique. Panoramix, accompagné d'Astérix et d'Obélix et bientôt du village tout entier, viennent le soutenir. Mais Brutus est mauvais joueur et a plus d'un tour dans son sac… Ils sont fous ces Romains !

Avec un budget de 78 millions d'euros, Astérix aux Jeux Olympiques se veut le second plus gros projet de l'histoire du cinéma français derrière les 90 millions de dollars du Cinquième élément de Luc Besson. Il s'agit du troisième volet de la saga Astérix d'après l'oeuvre de Albert Uderzo et de René Goscinny. Clovis Cornillac remplace Christian Clavier dans le rôle d'Astérix, Alain Delon campe un Jules César autosuffisant et grotesque, Benoît Poelvoorde interprète un Brutus débile et caractériel. La distribution est plus prestigieuse que jamais et une kyrielle de guest-stars participe au casting : Des comiques français, des sportifs français et internationaux, des mannequins et Francis Lalanne qui tourne avec ses propres vêtements.