Black Phone

Finney Shaw, un adolescent de 13 ans, timide mais intelligent, est enlevé par un tueur sadique qui l’enferme dans un sous-sol insonorisé où s’époumoner n’est pas d’une grande utilité. Quand un téléphone accroché au mur, pourtant hors d’usage, se met à sonner, Finney va découvrir qu’il est en contact avec les voix des précédentes victimes de son ravisseur. Ils sont morts mais résolus à ce que leur triste sort ne devienne pas celui de Finney.

Réalisateur de Sinister en 2012, puis de Doctor Strange en 2016, Scott Derrickson revient à son genre de prédilection, l'épouvante, dans son nouveau long-métrage Black Phone. Le film adapte la nouvelle éponyme de Joe Hill, fils du célèbre auteur américain, Stephen King, dont pléthore d'œuvres ont eu une adaptation au cinéma. « À l’époque (en 2005), je ne savais pas qui était Joe. Je suis entré dans la librairie, j’ai lu la nouvelle et je me suis dit que cet auteur était génial. Elle ne faisait qu’une vingtaine de pages, mais j’ai trouvé que le postulat de départ était formidable et qu’il se prêtait très bien à un film. Cela ne m’est jamais sorti de la tête », explique le réalisateur américain.