Réalisation :
David Lean
Principaux artistes :
Celia Johnson, Trevor Howard, Stanley Holloway, Joyce Carey
Genre : Drame - Drame psychologique
Titre original : Brief Encounter
Nationalité : Royaume-Uni
Durée : 1h40
Date de sortie (ou ressortie) : 20 novembre 1946
Distributeur : Gaumont (19.09.90)
Présentation
Délaissée par son mari, une petite provinciale se laisse un instant tenter par l'adultère avec un médecin, rencontré dans le buffet d'une gare et marié lui aussi.
Brève rencontre : la distribution
Réalisation : David Lean
Casting : Celia Johnson (Laura Jesson), Trevor Howard (le docteur Alec Harvey), Stanley Holloway (Albert Godby), Joyce Carey (Myrtle Bagot), Cyril Raymond (Fred Jesson), Everley Gregg (Dolly Messiter), Margaret Barton (Beryl Walters), Marjorie Mars (Mary Norton), Richard Thomas (Bobbie Jesson), Valentine Dyall (Stephen Lynn), Henrietta Vincent (Margaret Jesson), Nuna Davey (la cousine de Mary)
Distribution technique : Noel Coward (scénario), Anthony Havelock-Allan (scénario), Robert Krasker (direction artistique), David Lean (scénario), Ronald Neame (scénario)
Avant Brève rencontre, David Lean a réalisé Les Grandes espérances en 1946, L'esprit s'amuse en 1945, L'Esprit s'amuse en 1944-1945 et Ceux qui servent en mer en 1943.
Le scénario du film a été écrit par Noel Coward, Anthony Havelock-Allan, David Lean et Ronald Neame, qui avaient déjà écrit ensemble L'esprit s'amuse en 1945.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Celia Johnson dans Ceux qui servent en mer (1943) ; Trevor Howard dans La Couleur qui tue (1946) et L'Étrange aventurière (1946) et Stanley Holloway dans Recherché pour meurtre (1946) et Le Chemin des étoiles (1945).
Derniers avis sur le film : Brève rencontre
Avis publié par Christophe le 2 février 2022
Film subtil et fin, et totalement moderne : plus de 70 ans plus tard, il parle toujours, les humains restant des humains, si la forme change, le fond reste le même, et pour ce film sa délicatesse continue à être vivante.
1 avis sur Brève rencontre
Avis publié par Christophe le 2 février 2022
Film subtil et fin, et totalement moderne : plus de 70 ans plus tard, il parle toujours, les humains restant des humains, si la forme change, le fond reste le même, et pour ce film sa délicatesse continue à être vivante.
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