Réalisation :
Pablo Larraín
Principaux artistes :
Gael García Bernal, Mariana Di Girolamo, Santiago Cabrera, Mariana Loyola
Genre : Drame
Nationalité : Chili
Durée : 1h42
Année de production : 2019
Date de sortie (ou ressortie) : 2 septembre 2020
Présentation
Ema est désespérée. Avec son mari Gastón, elle a rendu l’enfant qu’ils avaient adopté aux services sociaux. Une situation qui a fragilisé le couple qui était pourtant très uni. Leur vie, c’est d’être ensemble en permanence. Elle est danseuse, il est chorégraphe de la compagnie. Cette vie commune, malgré l’amour pur qui les lie, aura eu raison d’eux. Ils s’aiment mais se détestent aussi. Il n’hésitent pas à se dire les pires horreurs l’un à l’autre. Cet enfant, ça les rapprochait, ça les déchire.
Le réalisateur Pablo Larraín (No, Neruda, Jackie) estime que si "l’adoption est une des choses les plus généreuses qu’une personne peut faire", celle-ci est souvent "idéalisée" et les parents traversent beaucoup de situations problématiques pouvant traumatiser l'enfant. Le film a reçu plusieurs nominations à la Mostra de Venise 2019.
Ema : la distribution
Réalisation : Pablo Larraín
Casting : Gael García Bernal (Gaston), Mariana Di Girolamo (Ema), Santiago Cabrera (Anibal), Mariana Loyola (Sara), Catalina Saavedra (Marcela), Giannina Fruttero (Sonia), Antonia Giesen (Renata), Susana Hidalgo, Paula Hofmann, Paula Luchsinger, Paola Giannini, Eduardo Paxeco
Distribution technique : Guillermo Calderón (scénario), Nicolas Jaar (musique), Estefania Larrain (décors), Sergio Armstrong (direction artistique), Alejandro Moreno (scénario)
Avant Ema, Pablo Larraín a réalisé Neruda en 2016, Jackie en 2016, El club en 2015 et No en 2012.
Le scénario du film a été écrit par Guillermo Calderón, qui avait déjà écrit Neruda en 2016 et El club en 2015.
La musique a été composée par Nicolas Jaar, qui avait composé auparavant la bande son des films Noma au Japon en 2016 et Dheepan en 2015.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Gael García Bernal dans Cuban Network (2019) et Acusada (2018) et Santiago Cabrera dans Transformers : The Last Knight (2017) et Che, 1re partie : L'Argentin (2008).
Derniers avis sur le film : Ema
Avis publié par Jacques LEMAITRE le 9 septembre 2020
Bon, il faut le dire... c'est pas bon du tout!
Raté, ennuyeux, voir incompréhensible..
J'aime pas descendre un film, mais Pablo Larrain nous avait habitué à un autre style de cinéma, avec une certaine ampleur et au ton lyrique plus "enflammé" (quoique là, c'est d'à propos !)
Vous pouvez y aller pour les scènes de chorégraphie au mieux, sur une musique infernale et tapageuse.. bref, c'est l'exemple parfait de ce qu'il ne faut pas faire au cinéma !
Avis publié par Priscille le 7 septembre 2020
Avec ses gros sabots, Larrain finit en happy end de familles (2) recomposées ou même enfin composées. Ouf, après 2h de prétendue chorégraphie, plutôt de l'aerobic athlétique, bravo à l'héroine, de recherches esthétiques dans des ébats saphiques ou inter sexes (quelle audace), on sort heureux de marcher sur des trottoirs parisiens si familiers. Faute d'un sujet, tel Neruda, qui pouvait tenter de cacher la vacuité du propos, passons notre chemin.
Avis publié par G. Holt le 3 septembre 2020
Pas conseillé à tout le monde mais plutôt à ceux qui sont envoûtés par les images.
3 avis sur Ema
Avis publié par Jacques LEMAITRE le 9 septembre 2020
Bon, il faut le dire... c'est pas bon du tout!
Raté, ennuyeux, voir incompréhensible..
J'aime pas descendre un film, mais Pablo Larrain nous avait habitué à un autre style de cinéma, avec une certaine ampleur et au ton lyrique plus "enflammé" (quoique là, c'est d'à propos !)
Vous pouvez y aller pour les scènes de chorégraphie au mieux, sur une musique infernale et tapageuse.. bref, c'est l'exemple parfait de ce qu'il ne faut pas faire au cinéma !
Avis publié par Priscille le 7 septembre 2020
Avec ses gros sabots, Larrain finit en happy end de familles (2) recomposées ou même enfin composées. Ouf, après 2h de prétendue chorégraphie, plutôt de l'aerobic athlétique, bravo à l'héroine, de recherches esthétiques dans des ébats saphiques ou inter sexes (quelle audace), on sort heureux de marcher sur des trottoirs parisiens si familiers. Faute d'un sujet, tel Neruda, qui pouvait tenter de cacher la vacuité du propos, passons notre chemin.
Avis publié par G. Holt le 3 septembre 2020
Pas conseillé à tout le monde mais plutôt à ceux qui sont envoûtés par les images.
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