Réalisation :
Don Siegel, Luis Marquina
Principaux artistes :
Carmen Sevilla, Richard Kiley, Jose Guardiola, Jesus Tordesillas
Genre : Comédie dramatique
Titre original : Spanish affair
Nationalité : Etats-Unis, Espagne
Durée : 1h30
Date de sortie (ou ressortie) : 25 octobre 1957
Distributeur : Paramount
Présentation
Au cours d'un voyage en Espagne, un architecte s'éprend d'une jeune fille déjà fiancée à un gitan. Le drame ne tarde pas à éclater.
Flamenco : la distribution
Réalisation : Don Siegel, Luis Marquina
Casting : Carmen Sevilla (Mari Zarubia), Richard Kiley (Merritt Blake), Jose Guardiola (Antonio), Jesus Tordesillas (Sotelo), José Marco Davo (le père), José Manuel Martín (Fernando), Francisco Bernal (le serveur), Purita Vargas (Purita)
Distribution technique : Richard Collins (scénario), Daniele Amfitheatrof (musique), Sam Leavitt (direction artistique)
Avant Flamenco, Don Siegel a réalisé Baby Face Nelson en 1957, Face au crime en 1956, Interprète en 1955 et L'Invasion des profanateurs de sépultures en 1954.
Le scénario du film a été écrit par Richard Collins, qui avait déjà écrit Les Aventures de Hadji en 1954 et Les Révoltes de la cellule 11 en 1953.
La musique a été composée par Daniele Amfitheatrof, qui avait composé auparavant la bande son des films La Fureur des hommes en 1957, La Dernière chasse en 1956, La Neige en deuil en 1956 et Le Procès-1955 en 1955.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Carmen Sevilla dans Le Fils du cheik (1957) et La Vengeance (1957) ; Richard Kiley dans Graine de violence (1954) et L'Homme à l'affût (1952) et Jose Guardiola dans Le Cercle rouge (1955).
Derniers avis sur le film : Flamenco
Avis publié par Clara F. le 27 septembre 2020
Une étoile pour l'Espagne, il est vrai sous Franco, mais d'une beauté sauvage magnifique. Tolède, Madrid, la Castille, Segovie, Barcelone... les paysages surtout, presque complètement perdus aujourd'hui.
Une deuxième étoile pour le propos qui a l'époque était peut être visionnaire, s'il n'était pas réactionnaire, sur la modernité et la tradition en architecture, la nécessité d'une cohérence entre bâti, culture et nature; aujourd'hui il nous touche au coeur devant les catastrophes multiples que la 'modernité ' a générée dans l'urbanisme.
On aurait aimé mettre une troisième étoile pour le flamenco (il y en avait des gitans qui dansaient et chantaient en 1957); mais c'est assez pauvre sur ce plan; trois scènes en tout et pour tout dont une bien hollywoodienne. Pour le reste....
Également programmés à Paris et en Île-de-France :
1 avis sur Flamenco
Avis publié par Clara F. le 27 septembre 2020
Une étoile pour l'Espagne, il est vrai sous Franco, mais d'une beauté sauvage magnifique. Tolède, Madrid, la Castille, Segovie, Barcelone... les paysages surtout, presque complètement perdus aujourd'hui.
Une deuxième étoile pour le propos qui a l'époque était peut être visionnaire, s'il n'était pas réactionnaire, sur la modernité et la tradition en architecture, la nécessité d'une cohérence entre bâti, culture et nature; aujourd'hui il nous touche au coeur devant les catastrophes multiples que la 'modernité ' a générée dans l'urbanisme.
On aurait aimé mettre une troisième étoile pour le flamenco (il y en avait des gitans qui dansaient et chantaient en 1957); mais c'est assez pauvre sur ce plan; trois scènes en tout et pour tout dont une bien hollywoodienne. Pour le reste....
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