Réalisation :
Yossi Aviram
Principaux artistes :
Valeria Bruni Tedeschi, Yona Rozenkier, Germaine Unikovsky, Jackie Berroyer
Genre : Drame
Nationalité : France, Allemagne, Israël
Langue de tournage : Hebreu, français
Durée : 1h41
Année de production : 2024
Date de sortie (ou ressortie) : 28 février 2024
Distributeur : Les Films du losange
Présentation
À Tel Aviv, Ori croise par hasard Anna, une écrivaine française, lors du procès d’un ancien nazi. Il est bouleversé de reconnaître cette femme dont le souvenir le hante depuis qu’ils se sont follement aimés à Turin, 20 ans plus tôt. Mais Anna soutient qu'ils ne se sont jamais rencontrés. Peut-être qu’au milieu du désert, les choses deviendront plus claires…
Avec Il n'y a pas d'ombre dans le désert, Yossi Aviram se fait l'écho d'une génération de cinéastes israéliens, et d'Israéliens, petits-enfants de rescapés de la Shoah, qui se sentent investis d'une mission. « C’est clair que la Shoah a une présence forte dans ma vie, dans notre vie… Cela fait peut-être partie de notre sentiment permanent de culpabilité ? Dans le film, c’est comme une malédiction qui semble frapper Ori et Anna, au sens où tous les maux s’abattent sur eux, quelque chose qui passe les générations et vient les hanter, tout comme cette génération », explique le réalisateur.
Il n'y a pas d'ombre dans le désert : la distribution
Réalisation : Yossi Aviram
Casting : Valeria Bruni Tedeschi (Anna), Yona Rozenkier (Ori), Germaine Unikovsky (Batya), Jackie Berroyer (Laszlo), Roni Alter (Petite fille de l'accusée), Meirav Shirom (Ruth), Yoel Rozenkier (Hanoch), Menachem Lang (Maitre Flumin), Zohar Wexler (Maitre Weinstock), Margeaux Lampley (Docteur Jenkins), Fantine Gelu (Sophia), Alma Aviram (Maya), Itay Ben Ami (Amir), Mai Weisz (L'infirmière (jour)), Cordelia Lange (L'infirmière (nuit)), Shiraz Tsarfat (Policière hôpital), Edme Bismuth (Voisin), Armando Bismuth (Voisin), Alona Nahmias (Policière désert), Aviv Telem (Policier désert), Uri Falk (Pianiste), Alexander Aviram (accusé)
Distribution technique : Valeria Bruni Tedeschi (scénario), Xavier Klaine (musique), Damien Dufresne (direction artistique), Yossi Aviram (scénario), Ruth Rosenthal (musique), Alexandre Manneville (scénario)
Avant Il n'y a pas d'ombre dans le désert, Yossi Aviram a réalisé La Dune en 2014.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Valeria Bruni Tedeschi dans Une vie rêvée (2024) et La Ligne (2022) ; Yona Rozenkier dans Un havre de paix (2018) et Germaine Unikovsky dans Trois jours un enfant (1967) et Trois Jours et un enfant (1967).
Derniers avis sur le film : Il n'y a pas d'ombre dans le désert
Avis publié par Isabelle le 2 mars 2024
Une histoire d amour enfouie par le temps rêvée ou réelle sur fond de procès pour crime de guerre d un dignitaire nazi... mais aussi un road movie dans le désert ou encore du besoin irrépressible des descendants des victimes de la Shoah d'obtenir réparation ou à l'inverse avant tout d'oublier et de renoncer aux procès 70 ans après les faits... Valéria Bruni Tedeschi incarne son personnage avec profondeur.
Avis publié par Laure le 28 février 2024
La mémoire, le sort des descendants des rescapés de la Shoah, le rôle de la littérature, sont les principaux thèmes de ce film tout en sensibilité, où une place particulière est accordée à la complémentarité entre fiction et réalité, qui s'entre-mêlent et se complètent, au gré des vides à remplir, que ce soit pour les personnages ou les spectateurs.
De belles images du désert du Néguev et des interprétations fines et intelligentes de la part des acteurs.
2 avis sur Il n'y a pas d'ombre dans le désert
Avis publié par Isabelle le 2 mars 2024
Une histoire d amour enfouie par le temps rêvée ou réelle sur fond de procès pour crime de guerre d un dignitaire nazi... mais aussi un road movie dans le désert ou encore du besoin irrépressible des descendants des victimes de la Shoah d'obtenir réparation ou à l'inverse avant tout d'oublier et de renoncer aux procès 70 ans après les faits... Valéria Bruni Tedeschi incarne son personnage avec profondeur.
Avis publié par Laure le 28 février 2024
La mémoire, le sort des descendants des rescapés de la Shoah, le rôle de la littérature, sont les principaux thèmes de ce film tout en sensibilité, où une place particulière est accordée à la complémentarité entre fiction et réalité, qui s'entre-mêlent et se complètent, au gré des vides à remplir, que ce soit pour les personnages ou les spectateurs.
De belles images du désert du Néguev et des interprétations fines et intelligentes de la part des acteurs.
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