Jeune

Fayed, Sarah, Clémence, Cécilia, Mélissa… vingt jeunes déscolarisés, originaires de Dijon et Toulouse, sont partis quelques jours avec l’équipe du film, loin de la ville et de leur quotidien, pour faire le point sur leur situation. Ils expliquent dans un autoportrait comment ils en sont arrivés à quitter l’école. Équipés d’une caméra et forts d’une formation à la réalisation, la narration et le montage, ils mettent en scène leur passé, ce qu’ils attendent de leur avenir, leurs rêves, leurs blessures et leur place dans la société d’aujourd’hui, si attachée au paraître et à la réussite.

Près de deux millions de personnes entre 15 et 29 ans sont déscolarisées en France, comme le réalisateur Christian Zerbib (Nos ancêtres les gauloises) qui a vécu cette situation et donne la parole à 20 jeunes sur le sujet.