Réalisation :
Diastème
Principaux artistes :
Clara Luciani, William Lebghil, José Garcia, Laura Felpin
Genre : Film musical
Nationalité : France
Langue de tournage : Français
Durée : 1h56
Année de production : 2024
Date de sortie (ou ressortie) : 25 décembre 2024
Distributeur : Haut et court
Présentation
De Paris à Rome dans les années 1970, le destin d’un écrivain fauché percute celui d’une star montante du cinéma. Leur chemin vers l’amour sera semé d’embûches, de quiproquos et de rebondissements.
Amis depuis plus de 25 ans, Diastème et Alex Beaupain ont décidé de collaborer ensemble pour Joli joli, le premier à la réalisation et au scénario, le second à la musique et au scénario. Dès le début du projet, le binôme s'est dirigé vers le format de l'opérette. « L’opérette est l’ancêtre de la comédie musicale, et nous l’avons écrite selon les règles de l’art. On ne voulait pas faire de pastiche, au contraire, nous nous sommes dit qu’il fallait la traiter sérieusement, en respectant les codes, tout en étant sincère – et puis, surtout, en s’amusant », explique Diastème.
Joli joli : la distribution
Réalisation : Diastème
Casting : Clara Luciani, William Lebghil, José Garcia, Laura Felpin, Grégoire Ludig, Vincent Dedienne, Victor Belmondo, Thomas VDB, Alban Lenoir, Jeanne Rosa, Anne Serra, Carolina Jurczak
Distribution technique : Diastème (scénario), Alex Beaupain (musique), Philippe Guilbert (direction artistique), Alex Beaupain (scénario)
Avant Joli joli, Diastème a réalisé Le Monde d'hier en 2021, Juillet-août en 2016, Un Français en 2015 et Le Bruit des gens autour en 2007.
Le scénario du film a été écrit par Diastème, qui avait déjà écrit Revenir en 2019, Gueule d'ange en 2018, Juillet-août en 2016 et Un Français en 2015.
La musique a été composée par Alex Beaupain, qui avait composé auparavant la bande son des films Marcello Mio en 2024, Les Rois de la piste en 2023, Les Cadors en 2022 et Les Malheurs de Sophie en 2016.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Clara Luciani dans Zak & Wowo, la légende de Lendarys (2024) et Le Choc du futur (2019) ; William Lebghil dans Le Beau Rôle (2024) et Les Complices (2023) et José Garcia dans Nous, les Leroy (2024) et Angelo dans la forêt mystérieuse (2024).
Derniers avis sur le film : Joli joli
Avis publié par Jérôme le 6 janvier 2025
Joli joli film mélancolique et gai, drôle et suranné. Merveilleux acteurs avec des mélodies de qualité. Une bulle de quiétude.
Avis publié par Isabelle le 3 janvier 2025
Une comédie musicale française sur l'amour sous toutes ses formes... malgré un casting de qualité, le rythme peu soutenu a du mal à entrainer le spectateur.
Avis publié par Remy le 26 décembre 2024
À force de vouloir cocher absolument toutes les cases de l’inclusion, le film m’aura laissé sur un avis assez mitigé. D’un coté, sur le fond, des textes chantés très noirs à tendance méga-dépressive (bien typique de nos années actuelles) et d’un autre coté sur la forme : le kitsch poussé à outrance avec par exemple (on le voit dès l’affiche) une Clara Luciani surmaquillée en blonde peroxydée, parce qu’on est dans les années 1970… Elle demeure l’atout principal du film par sa voix et son jeu merveilleux mais c’est un peu too much et lassant. À noter aussi la très belle prestation de William Lebghill.
Également programmés à Paris et en Île-de-France :
Plan
3 avis sur Joli joli
Avis publié par Jérôme le 6 janvier 2025
Joli joli film mélancolique et gai, drôle et suranné. Merveilleux acteurs avec des mélodies de qualité. Une bulle de quiétude.
Avis publié par Isabelle le 3 janvier 2025
Une comédie musicale française sur l'amour sous toutes ses formes... malgré un casting de qualité, le rythme peu soutenu a du mal à entrainer le spectateur.
Avis publié par Remy le 26 décembre 2024
À force de vouloir cocher absolument toutes les cases de l’inclusion, le film m’aura laissé sur un avis assez mitigé. D’un coté, sur le fond, des textes chantés très noirs à tendance méga-dépressive (bien typique de nos années actuelles) et d’un autre coté sur la forme : le kitsch poussé à outrance avec par exemple (on le voit dès l’affiche) une Clara Luciani surmaquillée en blonde peroxydée, parce qu’on est dans les années 1970… Elle demeure l’atout principal du film par sa voix et son jeu merveilleux mais c’est un peu too much et lassant. À noter aussi la très belle prestation de William Lebghill.
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