Réalisation :
Ernst Lubitsch
Principaux artistes :
Claudette Colbert, Gary Cooper, Edward Everett Horton, David Niven
Genre : Comédie
Titre original : Bluebeard's Eighth Wife
Nationalité : Etats-Unis
Durée : 1h22
Année de production : 1938
Date de sortie (ou ressortie) : 19 décembre 2018
Date de première mise en salle : 25 avril 1938
Distributeur : Splendor Films
Présentation
Un milliardaire américain, Michael Brandon, se paie la fantaisie de ne vouloir acheter que la veste d’un pyjama dans un magasin de vêtements de Nice, au grand désarroi du vendeur. Ce délicat litige s’achève d’heureuse façon quand une aristocrate ruinée, Nicole de Loiselle, s’offre à acquérir le pantalon. Éprise de Michael dès cette première rencontre, Nicole accepte de l’épouser, bien qu’il ait divorcé à sept reprises. Elle pose toutefois ses conditions, à savoir que s’il venait à se séparer d’elle, il lui attribuerait une pension alimentaire deux fois plus élevée que celles qu’il verse à ses ex-compagnes, au nombre de six… après la mort d’une d’entre elles. Le couple part alors en voyage de noces à destination de Prague, Venise et Paris, Nicole étant bien déterminée à « dompter » Michael.
Une comédie de la grande période du cinéaste d’origine allemande Ernst Lubitsch dans les studios de Hollywood. Le film, inspiré de la pièce d’Alfred Savoir, accumule les situations les plus loufoques. Il offre également deux rôles « en or » pour Gary Cooper et Claudette Colbert.
La Huitième Femme de Barbe-Bleue : la distribution
Réalisation : Ernst Lubitsch
Casting : Claudette Colbert (Nicole de Loiselle), Gary Cooper (Michael Brandon), Edward Everett Horton (le marquis de Loiselle), David Niven (Albert de Régnier), Elizabeth Patterson (Edwige), Herman Bing (Pépinard), Warren Hymer (Kid Mulligan), Lionel Pape (Potin)
Distribution technique : Billy Wilder (scénario), Friedrich Hollaender (musique), AE Freudeman (décors), Leo Tover (direction artistique), Charles Brackett (scénario original), Alfred Savoir (scénario), Billy Wilder (scénario original), Charlton Andrews (scénario), Charles Brackett (scénario)
Avant La Huitième Femme de Barbe-Bleue, Ernst Lubitsch a réalisé Ange en 1937, La Veuve joyeuse en 1934, Sérénade à trois en 1933 et L'Homme que j'ai tué en 1932.
La musique a été composée par Friedrich Hollaender, qui avait composé auparavant la bande son des films Easy living en 1937, Ange en 1937, Désir en 1936 et Hands across the table en 1935.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Claudette Colbert dans À Paris tous les trois (1937) et Tovarich (1937) ; Gary Cooper dans Les Aventures de Marco Polo (1938) et Les Bijoux volés (1938) et Edward Everett Horton dans Vacances (1938) et L'Entreprenant monsieur Petrov (1937).
Derniers avis sur le film : La Huitième Femme de Barbe-Bleue
Avis publié par Tessel le 13 janvier 2024
Un film qu'on ne lasse jamais de voir, de revoir, et revoir encore.
Mais c'est amusant de constater quel point les gens sont frappés par la première scène, celle de l'achat du pyjama. Parce qu'alors que les spectateurs garde le plus souvent le souvenir que Gary Cooper ne veut acheter que la veste, et que Claudette Colbert prend le pantalon, dans le film c'est bien du contraire qu'il s'agit; ce qui fait que Cooper dort torse nu, et Claudette en nuisette. La scène n'en est pas moins hilarante et donne une parfaite entrée cette merveille de film.
Avis publié par Salles-cinema.com le 8 janvier 2019
Un must de la comédie américaine. C'est fin, cocasse et hilarant! Merci M. Lubitsch!
2 avis sur La Huitième Femme de Barbe-Bleue
Avis publié par Tessel le 13 janvier 2024
Un film qu'on ne lasse jamais de voir, de revoir, et revoir encore.
Mais c'est amusant de constater quel point les gens sont frappés par la première scène, celle de l'achat du pyjama. Parce qu'alors que les spectateurs garde le plus souvent le souvenir que Gary Cooper ne veut acheter que la veste, et que Claudette Colbert prend le pantalon, dans le film c'est bien du contraire qu'il s'agit; ce qui fait que Cooper dort torse nu, et Claudette en nuisette. La scène n'en est pas moins hilarante et donne une parfaite entrée cette merveille de film.
Avis publié par Salles-cinema.com le 8 janvier 2019
Un must de la comédie américaine. C'est fin, cocasse et hilarant! Merci M. Lubitsch!
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