Réalisation :
Kenji Mizoguchi
Principaux artistes :
Machiko Kyo, Ayako Wakao, Michiyo Kogure, Aiko Mimasu
Genre : Drame - Drame social
Titre original : Akasen chitai
Nationalité : Japon
Langue de tournage : Japonais
Durée : 1h22
Année de production : 1956
Date de sortie (ou ressortie) : 25 octobre 1957
Distributeur : Films Sans Frontières
Présentation
Le quartier de Yoshiwara, à Tokyo. Pendant que le parlement discute d'un projet de loi sur l'abolition de la prostitution, plusieurs femmes en vivent la réalité quotidienne, la plupart contraintes par un destin contraire. Dans cette maison de tolérance, où se croisent des messieurs élégants et d'autres moins, Yumeko loue ses charmes pour subvenir aux frais d'éducation de son fils. Ce dernier, quand il apprend l'activité de sa mère, l'abandonne et se détourne d'elle. Yasumi, quant à elle, désire réunir l'argent nécessaire pour faire libérer son père. Hanae a un mari au chômage, Mickey a été abandonnée par son concubin, un soldat américain, Yorie était traitée comme une esclave par son mari. Toutes rêvent d'échapper à leur condition et de pouvoir quitter la maison de tolérance.
La Rue de la honte : la distribution
Réalisation : Kenji Mizoguchi
Casting : Machiko Kyo (Mickey), Ayako Wakao (Yasumi), Michiyo Kogure (Hanae), Aiko Mimasu (Yumeko), Kenzi Sugawara (Eiko), Eitaro Shindo (Kurazo)
Distribution technique : Masashige Narusawa (scénario), Toshiro Mayuzumi (musique), Kazuo Miyagawa (direction artistique), Yoshiko Shibaki (scénario original)
Avant La Rue de la honte, Kenji Mizoguchi a réalisé Le Héros sacrilège en 1955, L'Impératrice Yang Kwei Fei en 1955, Les Amants crucifiés en 1954 et Une femme dont on parle en 1954.
Le scénario du film a été écrit par Masashige Narusawa, qui avait déjà écrit L'Impératrice Yang Kwei Fei en 1955 et Une femme dont on parle en 1954.
La musique a été composée par Toshiro Mayuzumi, qui avait composé auparavant la bande son du film Un amour pur de Carmen en 1952.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Machiko Kyo dans La Petite maison de thé (1956) et L'Impératrice Yang Kwei Fei (1955) ; Ayako Wakao dans Les Musiciens de Gion (1953) et Michiyo Kogure dans Le Chant de la brume (1956) et Le Héros sacrilège (1955).
Derniers avis sur le film : La Rue de la honte
Avis publié par JENNET PASCAL le 22 mai 2024
Le dernier film de Mizoguchi est son ultime chef-d'œuvre.
Film où les femmes sont broyées par les rapports aux hommes et à l'argent.
Avis publié par Christophe le 28 avril 2024
Cela manque de vie, de rythme, c'est trop "posé".
Également programmés à Paris et en Île-de-France :
2 avis sur La Rue de la honte
Avis publié par JENNET PASCAL le 22 mai 2024
Le dernier film de Mizoguchi est son ultime chef-d'œuvre.
Film où les femmes sont broyées par les rapports aux hommes et à l'argent.
Avis publié par Christophe le 28 avril 2024
Cela manque de vie, de rythme, c'est trop "posé".
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