Réalisation :
Jean-Daniel Pollet
Principaux artistes :
Claude Melki, Laurence Bru, Guy Marchand, Marion Game
Genre : Comédie dramatique
Nationalité : France
Durée : 1h40
Année de production : 1976
Date de sortie (ou ressortie) : 9 septembre 2020
Date de première mise en salle : 10 mars 1976
Distributeur : AMLF
Présentation
Un garçon de bains cherche la réussite dans les concours de tango.
L'Acrobate : la distribution
Réalisation : Jean-Daniel Pollet
Casting : Claude Melki (Léon), Laurence Bru (Fumée), Guy Marchand (Ramon), Marion Game (Lili), Micheline Dax (madame Lamour), Edith Scob (Valentine), Charlotte Alexandra (Louise), Christine Féral (Boldine)
Distribution technique : Jean-Daniel Pollet (scénario), Antoine Duhamel (musique), Jacques Lourcelles (scénario)
Avant L'Acrobate, Jean-Daniel Pollet a réalisé L'Ordre en 1975, L'Ordre en 1973, Le Sang en 1971 et L'amour c'est gai, l'amour c'est triste en 1971.
La musique a été composée par Antoine Duhamel, qui avait composé auparavant la bande son des films La Question en 1976, M comme Mathieu en 1971, Domicile conjugal en 1970 et Un condé en 1970.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Claude Melki dans Le Grand fanfaron (1975) et Salut, voleurs ! (1972) et Guy Marchand dans Attention les yeux ! (1976) et Le Grand escogriffe (1976).
Derniers avis sur le film : L'Acrobate
Avis publié par Clara F. le 26 septembre 2020
Parfait antidote à la lassitude et au découragement. La recette ? Une pellicule argentique, un air de tango obsédant comme le bruit d'un coeur, une caméra curieuse des etres et de leur désir, un texte qui passe d'un personnage à l'autre comme une pensée partagée, des miroirs partout, des couples de danseurs multicolores au milieu d'une foule qui les regarde.
Le film est a la fois documentaire, témoignage et fiction. Le décolleté jusqu'au nombril des femmes n'est pas vulgaire, les mains baladeuses ne sont pas si graves, on circule en moto sans casque. On oublie vite la maladresse voulue des acteurs, agaçante au début, l'histoire bancale, pour suivre les personnages dans leur désir de vie et d'amour.
Et on voudrait rester plus longtemps dans le public a contempler les couples qui dansent dans la lumière.
Également programmés à Paris et en Île-de-France :
1 avis sur L'Acrobate
Avis publié par Clara F. le 26 septembre 2020
Parfait antidote à la lassitude et au découragement. La recette ? Une pellicule argentique, un air de tango obsédant comme le bruit d'un coeur, une caméra curieuse des etres et de leur désir, un texte qui passe d'un personnage à l'autre comme une pensée partagée, des miroirs partout, des couples de danseurs multicolores au milieu d'une foule qui les regarde.
Le film est a la fois documentaire, témoignage et fiction. Le décolleté jusqu'au nombril des femmes n'est pas vulgaire, les mains baladeuses ne sont pas si graves, on circule en moto sans casque. On oublie vite la maladresse voulue des acteurs, agaçante au début, l'histoire bancale, pour suivre les personnages dans leur désir de vie et d'amour.
Et on voudrait rester plus longtemps dans le public a contempler les couples qui dansent dans la lumière.
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