L'Attachement

Bof. Pas si terrible que ça ! Mal joué par Pio Marmaï qui sort trop vite de son deuil. Valérie B.T. en fait trop dans son rôle intrusif, sous couvert que les enfants la réclament. Sa clope permanente est insupportable. Puis situations emmélées... sans charisme. Je ne suis pas du tout entrée dans cette histoire. Le pt garçon est formidable, lui.

Film émouvant même si tout n'est pas réaliste. L'essentiel est le message d'espoir qu'il véhicule, la possibilité de construire des liens d'attachement forts et réparateurs, pour combler des manques affectifs et nous aider à avancer. VBT incarne une voisine-amie-babysitter qu'on aimerait tous avoir. Qui sait présente et soutenante quand il le faut, secouer son voisin veuf quand il le faut et s'effacer quand il le faut. Pio Marmai à un double rôle masculin : dépendant affectif dans son lien amoureux (attachement insécure) et de père aimant dans son lien parental

« Ah l’attachement, c’est un film… attachant…je le verrai peut-être une deuxième fois » c’est ce que m’a dit une dame au cinéma, qui attendait. J’ai vu le film une première fois, bouleversement, j’ai beaucoup pleuré tant tout était juste, bien dosé, bien filmé. D’autant que moi aussi, j’ai bien failli mourir de ma maternité. Hier, j’y suis allée une deuxième fois, avec mon compagnon. Ç’aurait pu être notre histoire. C’est en tout cas l’histoire de plein d’autres. « Les enfants s’adaptent » une phrase qu’on entend deux fois dans le film. Les beaux liens hors du sang qui se tissent et qui portent. Rare de pleurer en sortant d’une salle. Pourtant, c'est ce qui m’est arrivé, deux fois.

Très bon film, je l'ai vu deux fois

Totalement d'accord avec la critique d'en dessous, certains ne retiennent que les cigarettes dans le film, mais vous êtes d'un manque de sensibilité alarmant... En plus ils boivent de l'alcool et on voit même un bout de sein... C'EST MAL! Je ne sais pas ce que vous dîtes des dizaines de morts violentes d'un film hollywoodien sur deux? vous mettez une bombe dans le ciné?... Bref, pour les autres qui autorisent encore qu'on représente un fumeur au cinéma, vous pouvez aller voir "L'attachement", le film est touchant, sensible, et crédible dans les relations sentimentales, notamment vis-à-vis de la parentalité (que ce soit le veuf, celle qui n'a pas eu et n'aura pas d'enfant, ou celle qui vit avec les enfants d'une autre), c'est ce thème qui personnellement m'a intéressé, et touché.

Et je trouve que Valeria Bruni Tedeschi joue particulièrement bien dans ce film (et j'espère qu'elle ne sera pas oubliée dans un an aux Césars).

Bref je vous le recommande chaleureusement.

Je recommande ce film, très attachant, l'attachement ! Très bons acteurs, les enfants sublimes, beaux sentiments, et oui Sandra fume bcp, mais qu'est-ce qu'on s'en fout, c'est le personnage, surtout qu'elle doit les allumer et pas forcément les fumer complètement. Le principal de ce film, c'est le deuil, l'amour.

*** = Bon...
Mais plutôt bon, voyons...
La bande-annonce, que j'ai vue au moins trois fois, donne une impression fausse du film, car elle attache trop d'importance au personnage de Sandra (Valeria Bruni Tedeschi).
Le vrai centre du film, à mes yeux, c'est plutôt Alex (Pio Marmaï), qui se trouve seul avec un bébé dont la mère est morte en couches, et un petit garçon qu'il élève alors qu'il n'est pas son père biologique. (Ce ne sont pas des spoilers, car on apprend ces choses très rapidement.)
En tentant de 'refaire sa vie', il devient un vrai héros tragique.
Valeria Bruni Tedeschi, quant à elle, fume excessivement, minaude et enchaîne des platitudes. Dans sa voix d'éternelle adolescente.
Je n'ai jamais réussi à apprécier cette actrice (ni à comprendre sa popularité), et "L'Attachement" n'a vraiment rien fait pour me faire changer d'avis.

Et bien malgré certaines critiques cinglantes que je viens de lire, je maintiens que j'ai aimé ! Je m'en fiche complètement que ce ne soit pas "réaliste", je ne vais pas au cinéma pour ça. Les interprétations sont justes, elles me touchent au cœur.

Quelques mois de la vie de Sandra, quinquagénaire qui prend sous son aile son petit voisin Elliott. Si le film est sensible, il est aussi un peu ennuyeux. On aurait voulu mieux connaître ce personnage de femme plutôt que la ribambelle de personnages, poussifs.

C’est une plaisanterie, ce film ! Rien de vrai dans tout ça. Certes, le cinéma est là pour faire rêver mais il y a des limites. Une intello sexagénaire célibataire et sans enfant, qui tombe en amour d’un enfant de 10 ans qui parle comme un livre, fils d’un voisin veuf et père de famille d’un nourrisson, même pas en rêve. C’est mièvre, à faire pleurer que dans certaines chaumières, long et sans intérêt. Je mets deux étoiles uniquement pour les acteurs.

L'attachement plus fort que l'amour entre 2 êtres ! que l'amour paternel ou maternel ! que l'amour fraternel ! ou comment sortir du deuil impossible. Tous les acteurs excellent dans leur jeu, en particulier le petit César Botti. J'ai bcp aimé le dialogue entre M-C Barrault et ses filles, criant de vérité. L'addiction aux cigarettes du personnage de Valeria B Tedeschi est superflue, même si c'est un symbole de liberté pr la féministe qu'elle joue. La bande originale apporte une touche de légèreté. Allez voir ce film qui est un condensé d'émotions.

Magnifique film, j'ai beaucoup aimé chaque personnage, très bien joué et tous ces attachements piliers de la vie. La cigarette de Sandra est insupportable, encore plus lorsqu'elle fume à l'intérieur en présence des enfants et adultes non-fumeurs, ou quand l'enfant l'imite…

Ce film est plein de finesse, émouvant, sensible... mais il y a des longueurs et la fin nous laisse sur notre faim.
Les acteurs sont excellents y compris le petit garçon.
Ce qui est hallucinant et dessert le film, c'est le nombre de clopes fumées par Valérie Bruni Tedeschi alors qu’elle est censée garder des enfants.

Les cigarettes en moins de VBT...
Je donnais une étoile de plus...

…voire à la pelleteuse ! Que ce cinéma est démonstratif, simpliste, mais enfin qui croit que la vie est ainsi, avec des gens qui ne se connaissent pas mais se roulent des pelles en deux temps trois mouvements, des visages trop expressifs, des gens qui se disent tout, des enfants qui parlent comme des livres, des phrases philosophiques à chaque propos autour d’une planche de saucisson. C’est insensé. C’en est de la caricature de film « d’auteur ». C’est triste d’en être arrivé là après des décennies de cinéma.