Le Lorax

Il fut un temps où les arbres abondaient sur la surface du globe, forts de leurs couronnes et de leurs feuillages multicolores. Tout cela semble néanmoins révolu à Thneedville, un monde artificiel de la surface duquel la végétation a été définitivement rayée. Lorsqu’il apprend que sa bien-aimée Audrey rêve de connaître ces mystérieux végétaux, Ted décide d'affronter toutes sortes d’obstacles afin de pouvoir renouer avec ce passé verdoyant. C’est alors qu’il fait connaissance avec le Lorax, une bien étrange créature qui tente encore de préserver les vestiges d’une nature qui se fait de plus en plus rare.

Après Horton (2008) et Moi, moche et méchant (2010), l’équipe d’Illumination Entertainment revient sur grand écran avec une parabole sur la nature. Une fois de plus, ils adaptent au goût du jour l’un des principaux récits du célèbre dessinateur Theodor Seuss Geisel – Horton étant lui-même sorti de la plume du « Dr. Seuss ». Vénéré outre-Atlantique, ce dernier a créé un bon nombre d’histoires pour enfants, appréciées à la fois pour leur originalité et leur dimension morale. Le Lorax confirme en outre la montée en puissance du nouveau studio américain, qui est devenu une véritable référence en matière d’animation après ses trois premiers longs métrages.