Les Enfants des autres

Film assez classique dans sa forme sans grande surprise, le début est très stéréotypé puis la suite s'améliore. Le film montre la difficulté de vivre avec des enfants d'un autre parent notamment la scène ou Leila veut sa mère physiologique bien que souvent absente et l'instabilité dans les couples reconstitués. On peut ne pas le voir. Virginie Efira et Roschdy Zem sont très bons ainsi que Frederick Wiseman en gynécologue.

Un mauvais film... A aucun moment je n'ai pu croire aux personnages ou à leur vie. Aucune émotion. Une accumulation de clichés et de stéréotypes. Ce film m'a paru interminable. Je serais sortie de la salle après 10 minutes si j'étais venue seule. Une fois de plus fort déçue par le cinéma français et Efira que je n'ai trouvé bonne que dans Adieu les Cons de Dupontel.

C'est curieux comme le film divise ci-dessous... Pour ma part j'ai bien aimé, grâce au thème et aux acteurs excellents (je ne comprend ni les critiques sur le jeu d'Efira, ni sur le fait qu'elle soit nue, ni non plus sur les scènes de sexe, qui montrent leur amour passionnel au début), mais que bien aimé par manque d'émotion, et par quelques défauts de scénario. Quelques belles scènes, mais le film reste trop tiède malgré les acteurs.

Un film plein de finesse sur les familles recomposées mais aussi sur le mal d'enfant... Interprétation magistrale de Virginie Efira et Roschdy Zem...

Personne ne parle du personnqge du gynécologue, un coup de maître de... Frédéric Wiseman, le grand documentariste (très âgée). Une galerie de personnages attachants, y compris Chiara Mastroianni dans un rôle fugace et pas facile.

Sujet sensible traité de façon dynamique, inhabituelle. Tous les comédiens sont excellents ! J'ai beaucoup aimé.

Dès les premières minutes, j'ai compris que ce film allait me déplaire.
Je n'ai pas été déçu.
Le sommet du ridicule est atteint quand pour accompagner les images "clicheteuses" des gardians de Camargue, on nous fait entendre "La Cavalerie" de J. Clerc.
Même la dernière scène, qui aurait pu provoquer une émotion, est abimée par le plan qui conclut le film: Rachel marche, en souriant, ayant retrouvé, semble-t-il, courage et sérénité.
En comparaison, le précédent effort de Virginie Efira, à propos des attentats de 2015, pourtant un peu boiteux, était admirable (au moins pendant ses 20 premières minutes) et "Un amour impossible" tenait plutôt bien ses promesses.
Par contre "Bojangles" était un spectacle grotesque et "Benedetta" ne valait guère mieux.

Comment parler d'amour maternel et d'amour sexuel, sans les différencier, sans les objectiver (cette tendance si matérialiste, si intello et parfois si française)? Comment montrer le désir tout court ? Désir de vivre, désir de partager, désir d'aider, désir de famille mais aussi désir de croire et de croire aux autres ? La réalisatrice réussit une prouesse : un film sur la passion d'une femme de notre temps, sans jamais tomber dans l'intellectualisation ni les modes actuelles de la "maternité sur mesure". Surprenant, attachant, drôle, touchant et par moments déjanté, Les Enfants des autres est le film le plus sincère de la rentrée. La musique, les images, les acteurs, tout respire. Avec un passage inattendu par des territoires peu explorés dans le cinéma français. J'ai adoré.

Je partage l’avis de Denis. Ce film est raté. On est censé traiter du rapport d’une femme à l’enfant qui n’est pas le sien et l’on assiste à une très longue histoire d’amour ponctuée de très longues et inutiles scènes de sexe et de Virginie Effira nue sous tous les angles. Beaucoup trop souvent. Aucun rapport avec le scénario d’origine qui aborde la question de l’enfant après une heure de film. Mais malgré l’adorable petite fille et le professionnalisme de Virginie Effira je ne suis pas rentrée dans ce film à la crédibilité bien inexistante.

Délicat, on adhère à ce couple tellement Virginie Efira, Roschdy Zem (dans un registre inédit, bravo !) et la petite fille jouent avec naturel ! Des sujets existentiels sont abordés avec douceur, tendresse (comme de la soie !) et réalisme. L'épilogue nous démontre qu'il existe plusieurs façons de transmettre ! Vive la vie.

Bonne idée de départ sur un sujet actuel mais trop de sexe inutile. Dommage.

Très joli film sensible, émouvant, Effira joue très bien.
Elle s'attache à cette enfant et c'est un film d'actualité, comme dans la vie.
J'ai beaucoup aimé.

Exceptionnel passage dans un espace temps d’une inédite vacuité, première expérience pour moi si bon public de se sentir après la dernière pub en apesanteur émotionnel, totalement déconnecté, pire désaffecté. Pas un beau plan, pas un dialogue utile : une narration si elliptique qu’elle en oublie d’exister, plate, bête et inconsistante transposition autobiographique sans intérêt. Efira, même nue, est invisible, revêtue d’un non scénario transparent. Quand à Zem on s’étonne de lire son nom au générique.
Un de ces films de confinement, dommages collatéraux « artistiques » du Covid, produit pour «  survivre ». Diagnostic : une injonction narcoleptique Messmerienne aux postures de simplicité, d’une prétention rarement égalée. C’est du jamais vu. A vous de… ne pas le voir.
Sauf en cas d’opération lourde pour allergiques aux analgésiques ou il se substituerait parfaitement aux besoins d’une anesthésie générale… (signez quand même une décharge. Le coma artificiel ici n’est pas garanti réversible).
Que vive le cinéma… faute de quoi, dans ce cas, allez au théâtre.

Très sensible évocation d'une femme désireuse d'enfant. Les thèmes de la famille et de la maternité frustrée sont traités avec finesse. Virginie Efira et Roschdy Zem sont magnifiques.