L'homme qui venait d'ailleurs

De Nicolas Roeg
Cinémas Science-fiction 2h00

Réalisation : Nicolas Roeg
Principaux artistes : David Bowie, Rip Torn, Candy Clark, Buck Henry
Genre : Science-fiction
Titre original : The Man Who Fell to Earth
Nationalité : Etats-Unis, Royaume-Uni
Durée : 2h00
Date de sortie (ou ressortie) : 8 avril 2015
Distributeur : Tamasa

Présentation

Newton est venu de sa lointaine planète, ravagée par la sécheresse, pour trouver de l’eau sur Terre. Grâce à son excellente maîtrise des technologies futuristes, l’extraterrestre se retrouve à la tête d'un empire industriel. Devenu riche, il décide de construire un vaisseau qui lui permettra de rentrer chez lui. Mais sa rencontre avec une jeune femme vient chambouler ses projets et Newton, bouleversé par cet amour, se perd peu à peu...

L'homme qui venait d'ailleurs est l'adaptation du roman éponyme de l'écrivain américain Walter Tevis publié en 1963. Ce film marque la première apparition de David Bowie dans un long-métrage de fiction, et les débuts du chanteur dans une nouvelle carrière qui prendra de l'ampleur dans les années 1980. On le retrouve notamment en 1983 dans le célèbre drame d'Ôshima, Furyo, ou encore la même année dans Les Prédateurs de Tony Scott, aux côtés de Catherine Deneuve.

L'homme qui venait d'ailleurs : la distribution

Réalisation : Nicolas Roeg

Casting : David Bowie (Thomas Jerome Newton), Rip Torn (Nathan Bryce), Candy Clark (Mary-Lou), Buck Henry (Oliver Farnsworth), Bernie Casey (Peters), Jackson D Kane (le professeur Canutti), Rick Riccardo (Trevor), Tony Mascia (Arthur)

Distribution technique : Paul Mayersberg (scénario), Walter Tevis (scénario), Stomu Yamash'ta (musique), John Philipps (musique)

Avant L'homme qui venait d'ailleurs, Nicolas Roeg a réalisé Ne vous retournez pas en 1973, Walkabout en 1971, La Randonnée 2 en 1970 et Performance en 1968.

Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma David Bowie dans Ziggy Stardust & The Spiders from Mars (1973) ; Rip Torn dans Drôles de manières (1976) et Jo le fou (1975) et Candy Clark dans C'est toujours oui quand elles disent non (1976) et American Graffiti (1973).

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