Meurtres à la Saint-Valentin

Harmony, une petite ville minière. Tom Hanniger, un mineur débutant, commet une erreur qui entraîne la mort de cinq personnes. Harry Warden, le seul survivant, se trouve plongé dans un profond coma. Mais sa soif de vengeance est telle qu’il se réveille un an plus tard, le jour de la Saint-Valentin, et tue vingt-deux personnes avant d’être lui-même abattu. Dix ans plus tard, Tom Hanniger revient à Harmony, très perturbé par son erreur aux conséquences terribles. Il retrouve son ancien amour et espère parvenir à vivre en paix. Mais les meurtres se multiplient. Il semblerait qu’Harry Warden soit de retour pour continuer sa sanglante vengeance.

Meurtres à la Saint-Valentin est le remake du film culte tourné en 1981 par Georges Mihalka. Le film est en 3D (dans les salles équipées), optimisée par un nouveau format : la Haute Définition 4K qui double le nombre de pixels à l’image. Max Penner, expert du film en relief, supervise les effets spéciaux. Avec ce sixième long métrage, Patrick Lussier (The Prophecy 3, Dracula 2001, Dracula 2, Dracula 3 et La Voix des morts) s’impose en maître de l’horreur. Mieux que dans le train fantôme des fêtes foraines, les effets 3D ligotent le spectateur à son fauteuil et lui font baisser la tête pour esquiver la pioche de mineur qui cherche à lui arracher le cœur. Dans la lignée des Vendredi 13 et des Scary Movie, ce voyage en enfer en 3D réjouira les adeptes du slasher movie. L’hémoglobine coule à flots. Frissons garantis !