Paddington

Un jeune ours péruvien vient de débarquer à Londres. Alors qu’il s’apprête à passer la nuit sur les quais de la gare, il est remarqué par la famille Brown qui passe par là. Émue par l’animal, madame Brown, au désespoir de son mari, décide de l’adopter. Baptisé Paddington, du nom de la station de train où il a été trouvé, l’ours intègre le foyer Brown, pour le meilleur et pour le pire. Car si Paddington fait la joie des enfants, il sème derrière lui catastrophes sur catastrophe. Pourtant, lorsque l’ours devient la proie de Milicent, une diabolique amatrice de taxidermie vivant dans un immense palais, et cherchant à le faire empailler, la famille Brown s’unit, envers et contre tout pour protéger sa nouvelle recrue.

Héros d’une série d’albums, créés par l’anglais Michael Bond dans les années 1950, traduits dans une quarantaine de langues, Paddington, qui reste aujourd’hui une valeur sûre de la littérature enfantine, fait ici ses grands débuts au cinéma. Il s’y retrouve au cœur d’un film sympathique, aussi léger qu’agréable à l’œil, et qui séduira les petits comme les grands. On savourera particulièrement la performance de Nicole Kidman (Moulin Rouge !) en méchante de service.