Petite Solange

Solange a 13 ans, elle est pleine de vie et de curiosité avec quelque chose de spécial : elle est sentimentale à l’excès, et adore ses parents. Mais un jour, elle réalise qu’ils se disputent et commencent à s’éloigner, l’ombre du divorce se précise. Alors Solange va s’inquiéter, réagir et souffrir. C’est l’histoire d’une jeune ado trop tendre qui voudrait une chose impossible : que l’amour jamais ne s’arrête.

Avec Petite Solange, Axelle Ropert allie son envie de réaliser un mélodrame, genre qu'elle estime délaissé dans le cinéma français actuel, avec un sujet qui lui tient à cœur : le divorce du point de vue de l'enfant. « Je fais partie d’une génération, celle des enfants-adolescents des années 1980, où les parents se sont mis à divorcer en masse, un vrai phénomène sociologique. Je suis une enfant de divorcés, et ça m’a passionnée de raconter cette histoire qui n’a quasiment pas été montrée au cinéma : quels effets produit le divorce sur un enfant ? C’est un sujet dont la richesse me paraît méconnue, voire méprisée », explique la réalisatrice.