Pseudonym

Père divorcé et cadre stressé, Alex mène une vie complexe et tendue. Un soir, il s'installe confortablement chez lui, espérant passer du bon temps lors d'un chat vidéo avec la troublante Diane, rencontrée sur un site internet. Quand l'image apparaît, il comprend qu'il n'a pas affaire à celle qu'il attendait. Il accepte tout de même d'entamer la discussion avec la jeune femme qui prétend se prénommer Nina. Il tombe rapidement sous le charme. Soudain, Nina est agressée. Alex va alors tout faire pour tenter de la secourir. Mais il ne se doute pas qu'il est tombé dans un piège terrible, tendu notamment par un pervers aux fantasmes voyeuristes.

La naissance du film est à mettre en parallèle avec le sentiment d'horreur qu'a éprouvé Thierry Sebban lors de l’affaire du gang des barbares, mais aussi avec un sujet de société bien actuel qui l'interpelle en tant que père : la dangerosité d’Internet pouvant donner le champ libre aux agissements les plus pervers. Il a voulu que la musique du film soit électronique parce qu'elle symbolise le monde moderne et son aliénation à la technologie.