Réalisation :
Jonás Trueba
Principaux artistes :
Itsaso Arana, Vito Sanz
Genre : Comédie
Titre original : Volveréis
Nationalité : France, Espagne
Langue de tournage : Espagnol
Durée : 1h54
Année de production : 2024
Date de sortie (ou ressortie) : 28 août 2024
Distributeur : Arizona Films
Présentation
Après 15 ans de vie commune, Ale et Alex ont une idée un peu folle : organiser une fête pour célébrer leur séparation. Si cette annonce laisse leurs proches perplexes, le couple semble certain de sa décision. Mais l'est-il vraiment ?
Après Eva en août et Venez voir, Jonás Trueba travaille une nouvelle fois avec son duo fétiche, composé de Itsaso Arana et Vito Sanz, avec qui il co-écrit le scénario de Septembre sans attendre. Le film est né après l'abandon d'un autre projet du cinéaste espagnol. Il précise : « je me posais alors beaucoup de questions sur mon rapport au cinéma… Et puis, je me suis dit que j’allais essayer de faire une comédie. » Ici, il joue avec les stéréotypes du genre, en faisant du père, interprété par Fernando Trueba, le père du cinéaste, un personnage pivot de Septembre sans attendre. « Le film naît aussi de la relation que j’ai avec mon père, et de ma relation au cinéma à travers mon père », explique Jonás Trueba.
Septembre sans attendre : la distribution
Réalisation : Jonás Trueba
Casting : Itsaso Arana (Ale), Vito Sanz (Alex)
Distribution technique : Jonás Trueba (scénario), Iman Amar (musique), Santiago Racaj (direction artistique), Itsaso Arana (scénario), Vito Sanz (scénario)
Avant Septembre sans attendre, Jonás Trueba a réalisé Venez voir en 2022, Qui à part nous en 2021, Eva en août en 2019 et La Reconquête en 2016.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Itsaso Arana dans Les filles vont bien (2023) et Venez voir (2022) et Vito Sanz dans Venez voir (2022) et Eva en août (2019).
Derniers avis sur le film : Septembre sans attendre
Avis publié par Françoise le 26 septembre 2024
L'idée était bonne,originale! Mais confus,on ne distingue pas la fiction de la réalité! Les personnages tournent en rond.
"Tu veux ou tu veux pas!" Un scénario faible, plat..ennuyeux!
Avis publié par Didier le 16 septembre 2024
Partant d'une idée loufoque "faire une fête pour la séparation d'un couple", le réalisateur continue son autopsie du couple dans notre société. Ce n'est pas lourd mais parfois un peu tendu. Un regard particulier sur notre société.
Avis publié par Patrick le 4 septembre 2024
Un couple madrilène prévoit de se séparer et d'organiser une fête à cette occasion à la fin de l'été, le 22 septembre. Postulat de départ pour le nouvel opus de Jonás Trueba dont on a déjà tant apprécié Venez voir et Qui à part nous. Postulat, c'est bien le mot comme une sorte de proposition, d'hypothèse offerte aux amis, à la famille et donc au spectateur, qui deviendrait ainsi un terreau sur lequel fertiliseraient toutes les ramifications d'un film extraordinairement ludique et gigogne dont l'essence et la nature sont déterminées par une réplique inaugurale : Ca ne pourrait pas marcher dans la réalité, mais dans un film oui ! Ale est elle-même réalisatrice et finit le montage d'un film, miroir de celui que nous sommes en train de découvrir tandis qu'Alex est un comédien en recherche de rôles.
Mathématique et conceptuel, Septembre sans attendre oppose la rond (figure de la répétition, de l'accumulation et du discours) à la ligne droite (représentant l'avenir, la découverte, l'action et l'audace).
Le film ne manque certes pas de discours truffés de références (philosophie, arts, cinéma,...) mais ne devient jamais ni démonstratif ni pontifiant car il demeure dans la vivacité et l'humour, transformant l'ensemble en un tourbillon qui nous perd et nous enchante.
Davantage qu'une anatomie du couple et des relations humaines en général - qui demeure l'axe majeur de l'œuvre de Trueba - Septembre sans attendre se veut une construction spirituelle et intellectuelle foisonnante et surprenante et devient, par conséquent, un coup de cœur de cette rentrée cinéma.
Avis publié par Philippe le 4 septembre 2024
Une idée originale, pas mal au début mais film trop long 2h, dans beaucoup de scènes alcool et cigarettes en particulier pour l'actrice principale, j'ai failli tousser !
Avis publié par Cranro le 3 septembre 2024
Ennui total pour ce film qui consiste en une succession lassante de "nous allons nous séparer, tout va bien, nous en ferons une fête". Aucun intérêt.
6 avis sur Septembre sans attendre
Avis publié par Françoise le 26 septembre 2024
L'idée était bonne,originale! Mais confus,on ne distingue pas la fiction de la réalité! Les personnages tournent en rond.
"Tu veux ou tu veux pas!" Un scénario faible, plat..ennuyeux!
Avis publié par Didier le 16 septembre 2024
Partant d'une idée loufoque "faire une fête pour la séparation d'un couple", le réalisateur continue son autopsie du couple dans notre société. Ce n'est pas lourd mais parfois un peu tendu. Un regard particulier sur notre société.
Avis publié par Patrick le 4 septembre 2024
Un couple madrilène prévoit de se séparer et d'organiser une fête à cette occasion à la fin de l'été, le 22 septembre. Postulat de départ pour le nouvel opus de Jonás Trueba dont on a déjà tant apprécié Venez voir et Qui à part nous. Postulat, c'est bien le mot comme une sorte de proposition, d'hypothèse offerte aux amis, à la famille et donc au spectateur, qui deviendrait ainsi un terreau sur lequel fertiliseraient toutes les ramifications d'un film extraordinairement ludique et gigogne dont l'essence et la nature sont déterminées par une réplique inaugurale : Ca ne pourrait pas marcher dans la réalité, mais dans un film oui ! Ale est elle-même réalisatrice et finit le montage d'un film, miroir de celui que nous sommes en train de découvrir tandis qu'Alex est un comédien en recherche de rôles.
Mathématique et conceptuel, Septembre sans attendre oppose la rond (figure de la répétition, de l'accumulation et du discours) à la ligne droite (représentant l'avenir, la découverte, l'action et l'audace).
Le film ne manque certes pas de discours truffés de références (philosophie, arts, cinéma,...) mais ne devient jamais ni démonstratif ni pontifiant car il demeure dans la vivacité et l'humour, transformant l'ensemble en un tourbillon qui nous perd et nous enchante.
Davantage qu'une anatomie du couple et des relations humaines en général - qui demeure l'axe majeur de l'œuvre de Trueba - Septembre sans attendre se veut une construction spirituelle et intellectuelle foisonnante et surprenante et devient, par conséquent, un coup de cœur de cette rentrée cinéma.
Avis publié par Philippe le 4 septembre 2024
Une idée originale, pas mal au début mais film trop long 2h, dans beaucoup de scènes alcool et cigarettes en particulier pour l'actrice principale, j'ai failli tousser !
Avis publié par Cranro le 3 septembre 2024
Ennui total pour ce film qui consiste en une succession lassante de "nous allons nous séparer, tout va bien, nous en ferons une fête". Aucun intérêt.
Avis publié par jean-luc le 30 août 2024
Une comédie sur la séparation d'un couple assez divertissante et légère. Le propos paraît cependant quelque peu irréel tout au long du film et les personnages peinent à être vraiment incarnés. Au final, cela manque d'épaisseur.
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