Réalisation :
Pierre Godeau
Principaux artistes :
François Damiens, Salomé Dewaels, Roman Kolinka, Anne Coesens
Genre : Comédie dramatique
Nationalité : France
Langue de tournage : Français
Durée : 1h31
Année de production : 2023
Date de sortie (ou ressortie) : 31 janvier 2024
Distributeur : Pan Distribution
Présentation
Alain, un acteur célèbre, accepte de jouer le personnage impossible de Jacques Brel. Conscient qu'il s'agit peut-être du dernier rôle de sa vie, il décide de quitter le plateau en pleine scène pour aller voir Lou, sa fille qu'il n'a pas vue grandir. Contre toute attente, Lou entre peu à peu dans son univers de fiction.
Si le thème de la filiation est souvent présent dans la filmographie de Pierre Godeau, c'est la première fois que le sujet est abordé de manière aussi frontale dans Sous le vent des Marquises. « J’avais envie de raconter l’histoire d’une jeune femme qui va se révéler dans les yeux de son père et va pouvoir avancer dans la vie en obtenant son estime. Cette trame, bien sûr, fait écho à ma propre vie. J’ai, très jeune, aimé le cinéma et désiré en faire, comme mon père, qui a toujours été très accaparé par ses fonctions de producteur et de réalisateur », explique Pierre Godeau.
Sous le vent des Marquises : la distribution
Réalisation : Pierre Godeau
Casting : François Damiens (Alain), Salomé Dewaels (Lou), Roman Kolinka (Antoine), Anne Coesens (Valérie), Franck Trillot (Jean)
Distribution technique : Pierre Godeau (scénario), Javier Navarrete (musique), Denis Lenoir (direction artistique)
Pierre Godeau a écrit et réalisé Sous le vent des Marquises. Précédemment, Pierre Godeau a aussi réalisé Raoul Taburin en 2018, Éperdument en 2016 et Juliette en 2012.
La musique a été composée par Javier Navarrete, qui avait composé auparavant la bande son des films Sound of Freedom en 2023, Affamés en 2021, Greta en 2018 et La Colère des Titans en 2012.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma François Damiens dans Les Complices (2023) et En même temps (2022) ; Salomé Dewaels dans Un silence (2023) et Filles de joie (2020) et Roman Kolinka dans Toi non plus tu n'as rien vu (2022) et Maya (2018).
Sous le vent des Marquises : à propos
Le réalisateur Pierre Godeau explique pourquoi il a pensé à Jacques Brel comme référentiel dans cette histoire :
« Cette idée a surgi en moi par hasard. J’avais débuté l’écriture de ce scénario et je butais sur le sujet du film dans le film quand je suis tombé sur le tableau d’un peintre belge contemporain, Harold Ancart, qui représentait une sorte d’archipel noir et blanc. Il avait intitulé sa série Les Marquises. En m’intéressant à cette peinture, j’ai levé un voile sur les dernières années de la vie de Jacques Brel et j’ai été frappé par les liens qui se tissaient presque naturellement entre son histoire et celle que j’écrivais. Brel est un artiste qui a libéré beaucoup de gens, par ses chansons mais aussi sa personnalité, son authenticité et sa liberté. Son aura continue d’agir aujourd’hui. »
Derniers avis sur le film : Sous le vent des Marquises
Avis publié par Martine Chappon le 6 février 2024
Je m'attendais, au minimum, à entendre des chansons de Jacques Brel. Que nenni ! je n'ai pas vu de rapport entre le chanteur et l'acteur qui s'apprête à jouer le rôle de Jacques Brel. Quant aux relations entre lui et sa fille, aucune émotion ne s'est produite pour ce qui me concerne.
Avis publié par Remy le 2 février 2024
Salut l’artiste. La transposition entre le crépuscule de la vie du grand Jacques Brel avec celui d’un grand acteur est ici effectuée avec une délicatesse et une poésie admirable. J’ai beaucoup aimé.
Également programmés à Paris et en Île-de-France :
2 avis sur Sous le vent des Marquises
Avis publié par Martine Chappon le 6 février 2024
Je m'attendais, au minimum, à entendre des chansons de Jacques Brel. Que nenni ! je n'ai pas vu de rapport entre le chanteur et l'acteur qui s'apprête à jouer le rôle de Jacques Brel. Quant aux relations entre lui et sa fille, aucune émotion ne s'est produite pour ce qui me concerne.
Avis publié par Remy le 2 février 2024
Salut l’artiste. La transposition entre le crépuscule de la vie du grand Jacques Brel avec celui d’un grand acteur est ici effectuée avec une délicatesse et une poésie admirable. J’ai beaucoup aimé.
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