Un coup de maître

Bon film avec un duo (Macaigne-Lanners formidable). Il démontre le business de l'art en général qui fonctionne sur l'entre soi du milieu. A voir pour la bonne humeur dégagée et les surprises du récit.

Très déçu. Aucune surprise : on anticipe les développements à 10km. Sans que le jeu d’acteur soit criticable en lui-même: les personnages sont sans profondeur, c’est l’écriture qui est en cause. On tourne vite en rond dans le duo de cette amitié indéfectible, avec des personnages dont le mieux qu’on a à en dire est qu’ils restent fidèles à eux-mêmes, au sens où ils n’évoluent pas entre le début et la fin du film.
La mise en scène est correcte (avec quelques farces visuelles, pas forcément subtiles), et la photo sans surprise. La réalisation elle-même est plutôt faible, déséquilibrée avec des longueurs par ci, et des raccourcis par là.
À la fin du film on se demande un peu quel était l’argument : une critique (banale et éculée) du marché de la peinture contemporaine ? Une réflexion sur l’amitié (béate) ? Sur la mort (ou son absence) ? Aucune idée.

Le réalisateur brosse avec beaucoup d’humour une vision naïve et cynique du marché de l’art contemporain.

Superbe numéro d'acteurs !!! Un film passionnant et subtil derrière le voile de la comédie. Je n'ai pas vu le temps passer. Les personnages secondaires sont aussi très bien campés et l'intrigue est pertinente et riche d'enseignements sur l'évolution moderne du monde de l'art.

Beau sujet. Une histoire qui fait réfléchir. Très bien joué. On passe un moment joyeux.

Redites des scènes d’action. Heureusement, la fin nous offre du neuf, mais il faut être patient.

Juste correct. Les acteurs surjouent et le propos moqueur sur l'art contemporain n'est pas nouveau. On a l'impression d'avoir déjà vu ce film.

L' histoire d une amitié indéfectible entre son galeriste et un peintre... ce dernier révolté permanent ne parvient pas à se résoudre à des discours politiquement corrects si bien que ses toiles ne se vendent pas et qu'il accumule des dettes. Les deux acolytes décident de le faire passer pour mort ce qui entraîne l'envol du prix de ses toiles mais les conduit en prison pour faux et usage de faux... Finalement l'histoire se termine sur une note plus morale où les tableaux de maître sont vendus dans le cadre d'une association pour une bouchée de pain à d'illustres inconnus au prétexte que l'art ne doit pas être un bien marchandable et donc accessible aux seuls nantis mais être accessible à tous pour la beauté de ce qu'il représente... Distrayant sans plus

Décevant pas trop accroché au tableau.