Réalisation :
Eric Bergeron
Genre : Animation
Nationalité : France
Durée : 1h27
Date de sortie (ou ressortie) : 12 octobre 2011
Distributeur : EuropaCorp Dist.
Recommandé aux jeunes
Présentation
Francoeur, une étrange créature, sème la panique dans les rues de Paris, en pleine crue de 1910. Tout le monde veut le retrouver et l’attraper, surtout le terrible préfet Maynott. Le « monstre » trouve refuge dans un cabaret, L’Oiseau rare, dont la star, la chanteuse Lucille, est connue pour sa grande beauté et son talent, mais aussi pour son caractère bien trempé. Et lorsqu’elle décide de prendre Francoeur sous son aile, rien ne peut l’arrêter. Alors qu’elle le déguise pour le faire passer inaperçu, elle lui tend une guitare. Il sait immédiatement comment s’en servir et se révèle être un musicien très doué.
Premier film français de Bibo Bergeron, formé chez Dreamworks (La Route d’El Dorado, ou Gang de requins), Un monstre à Paris, très beau conte au charme désuet, grâce aux magnifiques images représentant Paris en 1910, est bercé par les duos musicaux de Vanessa Paradis et Mathieu Chédid (Le Soldat rose).
Un monstre à Paris : la distribution
Réalisation : Eric Bergeron
Distribution technique : Stéphane Kazandjian (scénario), Matthieu Chedid (musique), Eric Bergeron (scénario)
Avant Un monstre à Paris, Eric Bergeron a réalisé La Route d'Eldorado en 2000.
Le scénario du film a été écrit par Stéphane Kazandjian, qui avait déjà écrit Moi, Michel G., milliardaire, maître du monde en 2010, Modern Love en 2007, Bloody Mallory en 2002 et Sexy boys en 2001.
La musique a été composée par Matthieu Chedid, qui avait composé auparavant la bande son des films Ne le dis à personne en 2005 et Toutes les filles sont folles en 2003.
Derniers avis sur le film : Un monstre à Paris
Avis publié par Marie le 18 juillet 2023
J’ai été déçue au premier abord par le graphisme assez old school de l’animation, mais dès la première chanson, la magie a opéré. Le duo de « L’ange » Lucille (Vanessa Paradis) et du « Monstre » Francœur (Matthieu Chedid) est savoureux et nous propose des petites pépites telles que la chanson « La Seine » qui est une véritable déclaration d’amour à notre sublime capitale. Dans les pérégrinations et poursuites des protagonistes dans ce Paris inondé de 1910, j’ai retrouvé des références à « Amélie Poulain », « Adèle Blanc-Sec », « Les Triplettes de Belleville » et même « King Kong ». Même si l’histoire est un peu convenue et que le personnage de Lucille semble parfois manquer d’aboutissement et de consistance, certains personnages secondaires tels que le machiavélique Préfet Maynott sont savoureux. J’ai adoré le clin d’oeil au M capillaire cornu arboré sur scène par Matthieu Chedid, lorsque Lucille cherche un déguisement pour Francœur et lui fait essayer des chapeaux, et pendant les chansons, les scènes aériennes éthérées de Lucille et Francœur qui m’ont ramenée à la cage à oiseaux où Vanessa Paradis a en son temps sublimé Chanel dans un ballet aérien ô combien magnifique, ou l’incursion sur un pont de Paris qui m’a rappelé le très beau film « La fille sur le pont ». Un film donc qui, non content de me raconter une jolie histoire, m’a ramenée à de très bons souvenirs cinématographiques, et est doté d’une B.O. à tomber. La chanson « La Seine » a tourné en boucle dans ma tête et chaque fois que je l’entends, elle me donne envie de chanter et d’esquisser quelques pas de danse. « Je ne sais ne sais, ne sais pas pourquoi » mais ce que je sais en revanche, c’est que j’ai aimé « Un monstre à Paris ».
1 avis sur Un monstre à Paris
Avis publié par Marie le 18 juillet 2023
J’ai été déçue au premier abord par le graphisme assez old school de l’animation, mais dès la première chanson, la magie a opéré. Le duo de « L’ange » Lucille (Vanessa Paradis) et du « Monstre » Francœur (Matthieu Chedid) est savoureux et nous propose des petites pépites telles que la chanson « La Seine » qui est une véritable déclaration d’amour à notre sublime capitale. Dans les pérégrinations et poursuites des protagonistes dans ce Paris inondé de 1910, j’ai retrouvé des références à « Amélie Poulain », « Adèle Blanc-Sec », « Les Triplettes de Belleville » et même « King Kong ». Même si l’histoire est un peu convenue et que le personnage de Lucille semble parfois manquer d’aboutissement et de consistance, certains personnages secondaires tels que le machiavélique Préfet Maynott sont savoureux. J’ai adoré le clin d’oeil au M capillaire cornu arboré sur scène par Matthieu Chedid, lorsque Lucille cherche un déguisement pour Francœur et lui fait essayer des chapeaux, et pendant les chansons, les scènes aériennes éthérées de Lucille et Francœur qui m’ont ramenée à la cage à oiseaux où Vanessa Paradis a en son temps sublimé Chanel dans un ballet aérien ô combien magnifique, ou l’incursion sur un pont de Paris qui m’a rappelé le très beau film « La fille sur le pont ». Un film donc qui, non content de me raconter une jolie histoire, m’a ramenée à de très bons souvenirs cinématographiques, et est doté d’une B.O. à tomber. La chanson « La Seine » a tourné en boucle dans ma tête et chaque fois que je l’entends, elle me donne envie de chanter et d’esquisser quelques pas de danse. « Je ne sais ne sais, ne sais pas pourquoi » mais ce que je sais en revanche, c’est que j’ai aimé « Un monstre à Paris ».
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