Vingt Dieux

Film caricatural et méprisant pour le monde agricole, mal joué. Ennui assuré

Authentique et très bien joué. Malgré un départ dans la vie compliqué ce jeune s’occupe de sa petite sœur du mieux qu’il peut et essaye de s’en sortir mais rien n’est fait pour l’aider

Enfin un film vrai, ne jugeant personne et ne délivrant aucun prêche!
A voir absolument

Petit film qui met du temps à rentrer dans le vif du sujet. Caricature de la vie à la campagne dans le Jura. Beaucoup de testostérone. Situations improbables dans le réel. Des longueurs, je me suis ennuyée.

Authentique certes mais particulièrement surestimé !

J'adore les personnages avec cette touche d'authenticité et vraiment courageux de s'être lancé dans l'aventure cinéma. Ils auront le cran de recevoir des critiques néfastes, tant pis pour ceux qui n'aiment pas le film. Un grand bonheur pour ceux qui apprécieront... bravo à tous pour ce film.

Rien ne tient debout, et c’est misérabiliste à souhait.
Je ne suis pas certain que les Franc-Comtois et les Jurassiens apprécient ce tableau désolant et caricatural d’une certaine forme d’existence dans cette magnifique région.
C’est glauque et mal joué.

Un très beau film sur la province jurassienne plein de fraîcheur et de sincérité. Un vrai petit bijou passionnant, le genre de films français dont on redemande.

Une comédie dramatique émouvante...

Une grande photosynthèse de liberté, d'espoir, d'amour et donc aussi de chlorophylle ! ^^
Très intéressante trame diamétrale sur les rapports entre femmes et hommes. Et quelle joie de voir représentés nos concitoyens de nos si belles campagnes. Un bijou à ne pas manquer.

Très beau film !

Un récit initiatique, entre rudesse et douceur, tourné dans le Jura et porté par de jeunes comédiens amateurs. Une belle découverte d'une jeune cinéaste plein d'avenir.

Ni documentaire ni film ! L’histoire sans intérêt et très mal construite d’un ado et sa petite sœur livrés curieusement à eux-mêmes à la mort de leur père. L’ado tente seul de s’en sortir, mais la démarche qu’il entreprend en fabriquant lui-même, une meule de fromage et tout en s’occupant de sa petite sœur est tellement peu crédible qu’on entre pas du tout dans le film. C’est sans intérêt. Quant à l’image ??? Incompréhensible

Pour son premier long-métrage, Louise Courvoisier réussit non pas un tour de force, mais à coup sûr le triple pari d’un western rural, d’un récit d’émancipation et d’initiation, et enfin d’une chronique sociale dans le milieu des éleveurs jurassiens et des fabricants de Comté. Si Vingt Dieux s’inscrit dans le réel par quelques séquences proches du documentaire (le vêlage d’une vache, par exemple), il repose d’abord sur une fiction, celle de l’histoire du jeune Anthony, dit Totone, et de sa petite sœur Claire livrés à eux-mêmes après la mort accidentelle de leur père. Face à la situation d’une grande précarité, Totone a l'idée de gagner le prochain concours du meilleur fromage et d’empocher 30000 euros au passage.
Le scénario somme toute prévisible n’est pas l’atout majeur de Vingt Dieux qui heureusement en compte beaucoup d’autres. D’abord une direction impeccable de comédiens tous amateurs dans des scènes parfois audacieuses, qui montrent des corps différents ou inhabituels au cinéma. Ensuite, sur le même registre de l’inédit, l’ancrage dans un territoire très rural, loin des villes, que connaît bien la jeune cinéaste. Les bals et les foires constituent la distraction principale des habitants. Elle les regarde toujours avec tendresse et sans jugements, refusant tout misérabilisme et captant au contraire la fierté d’une activité pourtant rude et ingrate. Vingt Dieux est d’abord une belle ode à la jeunesse pleine de ressources, qui ne veut pas s’apitoyer sur son sort comme Marie-Lise l’éleveuse, brute de décoffrage, que rencontre Anthony.
Drôle et touchant, Vingt Dieux respecte et magnifie aussi ses personnages en les mettant en scène en plans larges sur fond de paysages de montagnes et de vallées, révélant du coup la singularité et la bienveillance d’une cinéaste en devenir.

L’histoire est invraisemblable. Ces enfants devraient être confiés à la Ddass à la mort du père. Ensuite on est dans les violons pour faire pleurer les braves gens. Le jeune joue mal, les invraisemblances continuent, on ne s’attache pas au personnage. Quelques belles scènes paysannes, de jolies musiques, une petite fille sympathique presque émouvante autrement c’est faux et forcé.