Réalisation :
Bojena Horackova
Principaux artistes :
Ina Marija Bartaité, Laurynas Jurgelis, Fabienne Babe, Andrzej Chyra
Genre : Drame
Nationalité : France, Lituanie
Durée : 1h25
Année de production : 2020
Date de sortie (ou ressortie) : 7 septembre 2022
Distributeur : La Traverse
Présentation
Après 30 ans d'exil à Paris, Jana revient à Vilnius. Elle veut retrouver le lac que Paulius, son premier amoureux, appelait « Walden ». Chronique de la jeunesse lituanienne d'avant la chute du bloc communiste où, entre premiers émois et marché noir, les rêves de liberté s'incarnent à l’Ouest.
« Ce film est un éloge de la fuite. C'est un film sur les décisions que l'on prend et qui change notre vie », explique Bojena Horackova, réalisatrice de Walden. Le film traite des désirs de liberté des jeunes du bloc de l'est, ici en Lituanie, peu avant la chute du mur du Berlin. « Je voulais filmer ces jeunes gens, la lumière, les corps qui bougent dans l'espace, la nature qui les entoure, les lacs. C'était aussi ça 1989 : rêver de liberté, se planter, gâcher son histoire d'amour », explique Bojena Horackova.
Walden : la distribution
Réalisation : Bojena Horackova
Casting : Ina Marija Bartaité, Laurynas Jurgelis, Fabienne Babe, Andrzej Chyra, Mantas Janciauskas, Nelé Savicenko, Povilas Budrys
Avant Walden, Bojena Horackova a réalisé À l'est de moi en 2008 et Mirek n'est pas parti en 1994.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Ina Marija Bartaité dans Peace to Us in Our Dreams (2015) et Fabienne Babe dans Un soupçon d'amour (2020) et Que le diable nous emporte (2018).
Derniers avis sur le film : Walden
Avis publié par Martin le 6 octobre 2022
Film inattendu, à mi-chemin entre le rêve et le pèlerinage nostalgique sur les souvenirs de jeunesse. La toile de fond de la fin de l’ère communiste donne une touche romantique au film sur fond de « slow living ». Assez décalé mais sympathique. Quelques longueurs quand même .
1 avis sur Walden
Avis publié par Martin le 6 octobre 2022
Film inattendu, à mi-chemin entre le rêve et le pèlerinage nostalgique sur les souvenirs de jeunesse. La toile de fond de la fin de l’ère communiste donne une touche romantique au film sur fond de « slow living ». Assez décalé mais sympathique. Quelques longueurs quand même .
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