Réalisation :
Akira Kurosawa
Principaux artistes :
Toshiro Mifune, Tatsuya Nakadai, Yoko Tsukasa, Isuzu Yamada
Genre : Action / Aventure
Titre original : Le Garde du corps
Nationalité : Japon
Langue de tournage : Japonais
Durée : 1h50
Année de production : 1961
Date de première mise en salle : 25 avril 1961
Présentation
Au XIXe siècle, Sanjuro est un « ronin », un samouraï sans maître, qui erre sur les routes du Japon. Alors qu'il s'arrête dans une petite ville pour boire un verre, il discute avec le patron de la taverne et apprend que la bourgade est sous la coupe de deux criminels rivaux, Seibei et Ushitora, qui s'affrontent perpétuellement. À la surprise du bistrotier, Sanjuro annonce qu'il compte rester un certain temps en ville et s'empresse de rendre visite à Seibei. Il fait alors la démonstration de ses talents de bretteur au criminel et à ses hommes.
Les aventures pseudo-historiques d'un justicier solitaire, surnommé Sanjuro, qui servit de modèle à Sergio Leone pour son film Pour une poignée de dollars.
Yôjinbô : la distribution
Réalisation : Akira Kurosawa
Casting : Toshiro Mifune (Sanjuro Kuwabatake), Tatsuya Nakadai (Unosuke), Yoko Tsukasa (Nui), Isuzu Yamada (Orin), Daisuke Kato (Inokichi), Seizaburo Kawazu (Seibei), Kyû Sazanka (Ushitora), Takashi Shimura (Tokuemon), Hiroshi Tachikawa (Yoichiro)
Distribution technique : Ryuzo Kikushima (scénario), Masaru Satô (musique), Akira Kurosawa (scénario original), Akira Kurosawa (scénario)
Avant Yôjinbô, Akira Kurosawa a réalisé Les salauds dorment en paix en 1960, La Forteresse cachée en 1958, Le Château de l'araignée en 1957 et Les Bas-fonds en 1957.
Le scénario du film a été écrit par Ryuzo Kikushima et Akira Kurosawa, qui avaient déjà écrit ensemble Les salauds dorment en paix en 1960, La Forteresse cachée en 1958 et Le Château de l'araignée en 1957.
La musique a été composée par Masaru Satô, qui avait composé auparavant la bande son des films Les salauds dorment en paix en 1960, L'Homme H en 1958, Le Château de l'araignée en 1957 et Les Bas-fonds en 1957.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Toshiro Mifune dans Animas trujano (1961) et Les salauds dorment en paix (1960) ; Tatsuya Nakadai dans La Condition de l'homme : la prière du soldat (1961) et Quand une femme monte l'escalier (1960) et Yoko Tsukasa dans Dernier caprice (1961) et Fin d'automne (1960).
Derniers avis sur le film : Yôjinbô
Avis publié par jean-luc le 8 septembre 2024
Un film délectable où Kurosawa déploie toute l'étendue de son talent. Les scènes de combat sont magistrales tout comme l'interprétation des acteurs et on remonte aux sources du cinéma moderne. Un vrai régal !
Avis publié par Christophe le 11 avril 2023
c'est amusant de voir (dans l'ordre non chronologique donc) le film dont le remake est le fameux western de Sergio Leone. L'histoire est vraiment proche effectivement, et même dans certains effets de style (comme le duel vers la fin dans la rue, avec le vent). Je préfère le Leone, mais peut-être j'aurais vu plusieurs fois le Kurosawa et je ne découvrirais que maintenant le Leone, cela aurait été l'inverse?
J'ai parfois du mal avec le jeu d'acteur et cette manière parfois exagérée habituelle dans le cinéma japonais (ou dans la langue japonaise), mais la mise en scène est réussie. Une belle photo et un bon travail sur le son d'ambiance (le vent, les aboiements, etc).
A voir, pour la curiosité et pour le plaisir aussi.
2 avis sur Yôjinbô
Avis publié par jean-luc le 8 septembre 2024
Un film délectable où Kurosawa déploie toute l'étendue de son talent. Les scènes de combat sont magistrales tout comme l'interprétation des acteurs et on remonte aux sources du cinéma moderne. Un vrai régal !
Avis publié par Christophe le 11 avril 2023
c'est amusant de voir (dans l'ordre non chronologique donc) le film dont le remake est le fameux western de Sergio Leone. L'histoire est vraiment proche effectivement, et même dans certains effets de style (comme le duel vers la fin dans la rue, avec le vent). Je préfère le Leone, mais peut-être j'aurais vu plusieurs fois le Kurosawa et je ne découvrirais que maintenant le Leone, cela aurait été l'inverse?
J'ai parfois du mal avec le jeu d'acteur et cette manière parfois exagérée habituelle dans le cinéma japonais (ou dans la langue japonaise), mais la mise en scène est réussie. Une belle photo et un bon travail sur le son d'ambiance (le vent, les aboiements, etc).
A voir, pour la curiosité et pour le plaisir aussi.
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