Le trompe-l'œil, de 1520 à nos jours

Musées, Expositions Peinture Beaux-Arts Choix de la rédaction

Genre : Peinture
Lieu : Musée Marmottan Monet, Paris 16e
Date de début : 17 octobre 2024
Date de fin : 2 mars 2025
Tarifs : Entrée 14€, tarif réduit 9€, -7 ans gratuit.

Programmation : Tous les jours (sauf lundi, 1er janvier, 1er mai, 25 décembre) 10h-18h, nocturne jeudi jsq 21h — Fermeture caisses 45 mn avant
Fermetures : Lieu fermé le lundi, le 1 janvier, le 1 mai, le 25 décembre
Téléphone : 01.44.96.50.33
Site web : www.marmottan.fr

Pour le confort et la santé de tous, merci de respecter les consignes sanitaires mises en œuvre par les lieux culturels : présentation d'un "pass sanitaire", port du masque, usage de gel hydroalcoolique et distanciation physique.

Présentation

Cette exposition retrace l’histoire de la représentation de la réalité dans les arts et entend rendre hommage à cette facette présentée dans les collections du musée, ainsi qu’au goût de Jules et Paul Marmottan pour ce genre pictural. Les neuf sections de l’exposition illustrent ainsi, à travers un parcours chronologique, la pluralité des représentations du trompe-l’œil tout comme son évolution au fil du temps. Plus de 80 œuvres significatives du XVIe au XXIe siècle provenant de collections particulières et publiques d’Europe et des États-Unis sont exposées et permettent d’appréhender l’évolution formelle du trompe-l’œil.

Bien que le terme apparaisse au XIXe siècle, l’origine du trompe-l’œil serait liée à un récit bien plus ancien, celui de Pline l'Ancien, qui rapporte dans son Histoire naturelle comment le peintre Zeuxis, avait représenté des raisins si parfaits que des oiseaux vinrent voleter autour. Au cours des siècles, le trompe-l’œil se décline à travers des médiums divers et joue avec le regard du spectateur. Si certains thèmes du trompe-l'œil sont connus (les vanités, les trophées de chasse, les porte-lettres...), d'autres aspects seront abordés dans cette exposition comme la portée politique de ce genre pictural. À l’occasion de cet événement, huit œuvres de la collection du musée ont été restaurées.

L'exposition Le trompe-l'œil, de 1520 à nos jours est référencée dans notre rubrique Beaux-Arts.

Derniers avis sur l'exposition : Le trompe-l'œil, de 1520 à nos jours

Avis publié par Sarah le 18 février 2025

Déception ! Un thème pourtant réjouissant et plein de promesses... pas vraiment tenues. Certes, quelques œuvres très réussies sont accrochées mais trop peu. Beaucoup de redondances pour d'autres manquant d'intérêt, par ailleurs.
Une occasion quelque peu ratée, dommage !

Avis publié par Nathalie le 15 février 2025

Exposition intéressante pour enrichir ses connaissances. Les premiers tableaux m’ont déçue mais ceux de Boilly dont superbes. Gros point négatif. Mesdames, messieurs, merci de commenter l’exposition en toute discrétion. Idem pour les visites guidées beaucoup trop bruyantes. Il est difficile de se concentrer et de profiter dans ce brouhaha.

Avis publié par Eleonore le 14 février 2025

Complètement d'accord avec les avis. Très déçue par cette expo qui présente plusieurs fois le même type d œuvres, sans grand intérêt (les lettres derrière un ruban). Un ami peintre en trompe l'oeil m en raconte bien plus sur l'imitation des textures, des décors... c'est limite ennuyeux. + Beaucoup trop de monde et les groupes des visites guidées toutes les 30 mn. Passez votre chemin.

Avis publié par Christine le 28 janvier 2025

Déçue par cette expo. Peu d'œuvres, peu pertinentes. Je ne le recommande pas.

Avis publié par laurent le 27 janvier 2025

Déçu, le trompe l'oeil est pourtant toute l'affaire de la peinture ! C'est un sujet éminemment passionnant qui méritait un meilleur traitement. La représentation en peinture est par essence "un trompe l'oeil", un simulacre, non. Alors lorsque des artistes utilisent à dessein l'illusion pour vous la mettre clairement sous les yeux, ce n'est pas uniquement pour vous divertir, vous amuser ou vous montrer la virtuosité de leur savoir-faire.

L'art du trompe l'oeil a été, me semble-t-il, traité de la manière la plus triviale qui soit au sein de cette exposition au musée Marmottan. Bien sûr, cela n'est que mon humble avis.

Il y avait tellement à dire, à expliquer, à mettre en perspective, à problématiser, à faire des liens, à faire comprendre, bref, j'ai tout lu ou presque (98 %) et je n'ai rien lu de pertinent, rien appris d'intéressant ou "d'intelligent" : platitude et discours éculé. ET 1520 : POURQUOI 1520 !

Bref, exposition de pur divertissement, de pur amusement visuel pour enfants ou adolescents ou adultes contents de démasquer la mystification et l'art des artifices employés par les artistes dans différents médiums.

Heureusement, les œuvres m'ont charmé.
Elles, elles ne sont pas en cause, c'est le travail du commissariat qui est à blâmer, encore une fois.

Je suis heureux de m'être déplacé, car j'ai vécu une émotion esthétique forte devant un chef-d'œuvre (je veux le partager succinctement) :
Adolphe-Martial Potemont, "Lettres d’Alsace et de Lorraine".
Mais une fois encore ici comme ailleurs dans l'expo, le contenu indigent du cartel n'était pas à la hauteur.

Comment ne pas vibrer devant cette élégie picturale. D'emblée, vous sentez le drame, la douleur, le recueillement, mais aussi et surtout la beauté de l'ensemble. Monsieur Potemont a su merveilleusement utiliser le trompe l'oeil pour en faire autre chose qu'une fin en soi, un moyen pour transcrire l'indicible de la perte, du deuil. En l'occurrence ici, celle de l'Alsace et de la Lorraine en 1870 dont tout Francais a appris à l'école que cela avait été vécu comme une tragédie nationale à l'époque.

Comment ne pas dire merci devant cette poésie visuelle donnant à voir et à sentir la déchirure, l'affliction avec subtilité. Il a par la magie de la peinture traduit magistralement le sentiment de tristesse. Métaphore forte et envoûtante qui vous frappe et vous retient.

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Les musées font leur rentrée et nous dévoilent leur nouvelle programmation culturelle ! Rétrospective, exposition-anniversaire, réouverture... : voici un aperçu des expositions incontournables de cet automne 2024.

Coordonnées du lieu

Musée Marmottan Monet

Adresse : 2 rue Louis-Boilly 75016 Paris 16e

Transports

Bus : Porte de la Muette (63 / PC), Porte de Passy (32 / 70 / PC), Louis Boilly (32 / 70), Ernest Hébert (PC), Chaussée de la Muette (70)

Plan d'accès

Musée Marmottan Monet - Paris 16e
2 rue Louis-Boilly

12 avis sur Le trompe-l'œil, de 1520 à nos jours

Avis publié par Sarah le 18 février 2025

Déception ! Un thème pourtant réjouissant et plein de promesses... pas vraiment tenues. Certes, quelques œuvres très réussies sont accrochées mais trop peu. Beaucoup de redondances pour d'autres manquant d'intérêt, par ailleurs.
Une occasion quelque peu ratée, dommage !

Avis publié par Nathalie le 15 février 2025

Exposition intéressante pour enrichir ses connaissances. Les premiers tableaux m’ont déçue mais ceux de Boilly dont superbes. Gros point négatif. Mesdames, messieurs, merci de commenter l’exposition en toute discrétion. Idem pour les visites guidées beaucoup trop bruyantes. Il est difficile de se concentrer et de profiter dans ce brouhaha.

Avis publié par Eleonore le 14 février 2025

Complètement d'accord avec les avis. Très déçue par cette expo qui présente plusieurs fois le même type d œuvres, sans grand intérêt (les lettres derrière un ruban). Un ami peintre en trompe l'oeil m en raconte bien plus sur l'imitation des textures, des décors... c'est limite ennuyeux. + Beaucoup trop de monde et les groupes des visites guidées toutes les 30 mn. Passez votre chemin.

Avis publié par Christine le 28 janvier 2025

Déçue par cette expo. Peu d'œuvres, peu pertinentes. Je ne le recommande pas.

Avis publié par laurent le 27 janvier 2025

Déçu, le trompe l'oeil est pourtant toute l'affaire de la peinture ! C'est un sujet éminemment passionnant qui méritait un meilleur traitement. La représentation en peinture est par essence "un trompe l'oeil", un simulacre, non. Alors lorsque des artistes utilisent à dessein l'illusion pour vous la mettre clairement sous les yeux, ce n'est pas uniquement pour vous divertir, vous amuser ou vous montrer la virtuosité de leur savoir-faire.

L'art du trompe l'oeil a été, me semble-t-il, traité de la manière la plus triviale qui soit au sein de cette exposition au musée Marmottan. Bien sûr, cela n'est que mon humble avis.

Il y avait tellement à dire, à expliquer, à mettre en perspective, à problématiser, à faire des liens, à faire comprendre, bref, j'ai tout lu ou presque (98 %) et je n'ai rien lu de pertinent, rien appris d'intéressant ou "d'intelligent" : platitude et discours éculé. ET 1520 : POURQUOI 1520 !

Bref, exposition de pur divertissement, de pur amusement visuel pour enfants ou adolescents ou adultes contents de démasquer la mystification et l'art des artifices employés par les artistes dans différents médiums.

Heureusement, les œuvres m'ont charmé.
Elles, elles ne sont pas en cause, c'est le travail du commissariat qui est à blâmer, encore une fois.

Je suis heureux de m'être déplacé, car j'ai vécu une émotion esthétique forte devant un chef-d'œuvre (je veux le partager succinctement) :
Adolphe-Martial Potemont, "Lettres d’Alsace et de Lorraine".
Mais une fois encore ici comme ailleurs dans l'expo, le contenu indigent du cartel n'était pas à la hauteur.

Comment ne pas vibrer devant cette élégie picturale. D'emblée, vous sentez le drame, la douleur, le recueillement, mais aussi et surtout la beauté de l'ensemble. Monsieur Potemont a su merveilleusement utiliser le trompe l'oeil pour en faire autre chose qu'une fin en soi, un moyen pour transcrire l'indicible de la perte, du deuil. En l'occurrence ici, celle de l'Alsace et de la Lorraine en 1870 dont tout Francais a appris à l'école que cela avait été vécu comme une tragédie nationale à l'époque.

Comment ne pas dire merci devant cette poésie visuelle donnant à voir et à sentir la déchirure, l'affliction avec subtilité. Il a par la magie de la peinture traduit magistralement le sentiment de tristesse. Métaphore forte et envoûtante qui vous frappe et vous retient.

Avis publié par Patricia le 4 janvier 2025

Belle expo mais seulement 5 tableaux de Boilly, le maître de la peinture trompe-l’œil. Les autres peintres sont moins connus.

Avis publié par Sarah le 3 janvier 2025

Très attirée par le thème, seuls quelques tableaux font vraiment le job donc déception. ...
Un beau travail de recherches néanmoins mais qui manque de résultats

Avis publié par Christine le 5 décembre 2024

Les œuvres exposées sont peu connues et souvent magnifiques.
Avec les explications de la visite guidée, c'est encore mieux.

Avis publié par Yves le 30 novembre 2024

Une exposition intéressante qui fait découvrir le Trompe-l'Oeil à un certain nombre de personne, car peu mis en avant jusque là. Il est toutefois dommage que certains artistes du Trompe-l'Oeil avec des oeuvres originales ne soit pas exposés alors qu'il y a une redondance de sujets.
A refaire en plus grand.

Avis publié par Christiane le 10 novembre 2024

Excessivement déçue. C'est un thème qui augurait une exposition très intéressante. Quelle déception ! Il y a 2 ou 3 œuvres qui étaient vraiment dans le thème, le reste était tout le temps traité de la même façon... tout le temps la même chose inintéressante et répétitive.

Avis publié par Mauricette le 31 octobre 2024

L'encadrement des œuvres les ont pour moi ramenées à des tableaux ; je n y ai pas vraiment trouvé des trompes l'oeil même si les œuvres étaient intéressantes.

Avis publié par GEIST le 27 octobre 2024

Un peu en trompe-l’œil cette expo !

Le sujet est original et bien choisi.
Le lieu est toujours aussi beau et intéressant grâce aux collections permanentes et au mobilier Empire.
L’accueil est charmant.
Pas de foule contrairement à nombre d’autres lieux parisiens.

Le titre de l’exposition est alléchant ! Le trompe-l’œil du XVIe à nos jours. Ambitieux ! Donc déçu. Le choix des œuvres présentées est réduit et incomplet au regard de la multitude de productions réalisée ne serait-ce qu’en architecture ou en peinture. Les allusions au sujet à l’époque contemporaine sont à peine évoquées.

Un conseil : ne pas s’atteler à une telle ampleur thématique quand on ne dispose pas des moyens correspondants (financiers, locaux d’exposition). Dommage.

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