Naples à Paris

Déception. Belles œuvres évidemment mais prix trop élevé pour une exposition courte du fait de la fermeture non annoncée de 2 salles sur 3...
Les cartons remarquables ne sont pas visibles et d’autres œuvres déjà retirées...
Aucune compensation ou réduction accordée. Ce n’est pas Correct.

Très mauvaise idée d’y être allée avec une personne à mobilité réduite nous n’avons pu voir que le tiers de l’exposition… mais qui a eu la brillante idée d’éclater l’exposition en 3 parties sans prévenir ?

La sélection exceptionnelle invalide toutes les remarques négatives.

À Naples en février, j’avais parcouru le musée de Capodimonte…colossal et terriblement poussiéreux…
J’attendais avec gourmandise de nourrir ma frustration de février.
J’ai surtout parcouru 3 km dans le Louvre, à chercher l’expo pour laquelle j’avais mis une heure et demie pour rentrer, malgré ma réservation en ligne plusieurs semaines avant ma visite.
Pour une vingtaine de toiles noyées dans la peinture italienne et les touristes hurlants, et je ne parle même pas des autres parties de cette expo….

De qui se moque le Louvre ?

Effectivement, ça aurait pû être l'exposition de l'année !!
Drôle d'idée d'avoir "éclaté" ce qui aurait pu être une très belle exposition = de présenter de si belles œuvres, rares et exceptionnelles, en 3 endroits difficiles d'accès (aller de la grande galerie à la salle de l'horloge relève du parcours du combattant !!)
Le Louvre nous a habitué à beaucoup mieux (Cf : Léonard de Vinci, dessins bolognais... ).
E. Q

Je me demande qui a eu l'idée de saupoudrer en trois lieux une exposition qui aurait méritée une unité de lieu. A t-il imaginé une seconde le parcours d'une personne à mobilité réduite, habituée à admirer les trésors reçus par le Louvre, sans grandes difficultés ?
La première partie illisible. Il m'a fallu revenir 3 fois, après des acheminements interminables, tellement décevants. Il fallait être très motivée pour terminer la partie 3, admirable...
Indigne du Louvre

Belle exposition. Contrairement à d'autres j'ai trouvé que les toiles de Naples sont faciles à trouver. Les deux expositions complémentaires aussi. L'ensemble fait rêver et présente une série d'œuvres cohérente, surtout pour ce qui est du baroque.

Magnifique.

Une pénitence pour le visiteur !
Une belle idée abstraite d’un conservateur, intellectuellement intéressante, mais la réalité est catastrophique : oeuvres perdues, noyées dans le flot de touristes.
Ça ne vaut la peine que pour les privilégiés des vernissages !!!
Est-ce que le commissaire de l'exposition est réellement passé dans la Grande Galerie un jour lambda sans se rendre compte de son erreur d'appréciation ?

Je rejoins l'avis des personnes qui ont eu bcp de mal à trouver la partie 1 de l'expo. La signalétique est plus que décevante. Les œuvres sont d'une grande beauté mais la grande galerie, bondée, ne permet pas d'admirer les œuvres sereinement. Dommage.

Une exposition très décevante. Des œuvres dispersées, un parcours et une signalétique qui nous laissent perplexes. Au final le visiteur en sort frustré.

Une exposition répartie sur trois niveaux. Si les niveaux 2 et 1 sont corrects, le niveau 0 correspond bien au niveau zéro de l'accrochage. On longe la salle Denon en zigzaguant d'un côté et de l'autre de la galerie. Vouloir mettre les oeuvres du Capodimonte en résonance avec celles du Louvre, suppose une maîtrise de l'histoire de l'art. Or, bien souvent, les visiteurs se contentent de voir le tableau prêté par Naples sans s'attarder sur les oeuvres alentour. Si l'on ajoute une signalétique désastreuse, un musée transformé en foire d'empoigne, on peut dire que cette exposition tourne au naufrage.

Jamais une exposition ne nous avait autant déçus - limite arnaque de la part du Louvre qui nous a habitué à bien autre chose.
Exposition qui n'en est pas vraiment une, on passe plus de temps à chercher qu'à admirer les œuvres -disséminées au milieu des collections permanentes sur plusieurs bâtiments, étages et salles - et signalétique souvent absente, quelques beaux tableaux mais aucun réel fil conducteur. On reste sur sa fin.

UN CHEMIN DE CROIX MAIS DES ŒUVRES EXCEPTIONNELLES.

C’est à la mode, les œuvres doivent aujourd’hui se parler, se répondre selon le jargon spécialisé, entre elles d’une même époque ou à travers les époques et les courants artistiques. Pourquoi pas mais alors faites-le bien et facilitez la vie et les découvertes supposées du visiteur !

L’idée remarquable d’exposer une sélection des œuvres baroques du musée Capodimonte de Naples durant ses travaux, est excellente. Mais point de lieu unique pour leur présentation comme il est coutumier de le faire. Le Louvre a choisi de présenter les œuvres sur trois sites et donc dans trois lieux différents dispersés dans le musée qui, comme chacun sait, ne brille pas par sa fluidité de cheminement et de compréhension. Vous errez, vous cherchez, vous interrogez pour la énième fois les gardiens des salles épuisés de répéter la même chose. Et si vous n’êtes pas Français, ce n’est plus un chemin de croix car vous abandonnez avant la deuxième ou la troisième station !

Le « plus » est la présentation d’une sélection exceptionnelle (Reni, Caravage, Ribera, etc.) dans la Grande galerie. Noyés au milieu des collections permanentes, les tableaux sont perdus, banalisés, au lieu d’avoir été valorisés et sublimés au regard de leur splendeur. Sans parler du bain de foule assuré qui sera le vôtre au milieu des milliers de visiteurs qui arpentent les salles à la recherche, eux, de… la Joconde !

Allez ! Faisons bon cœur contre mauvaise fortune, par obligation, on traverse les salles des collections permanentes et on se régale de revoir David, Ingres, Corot et tant d’autres tableaux « cultes » de l’art français.

Peut-être était-ce finalement l’objectif premier des commissaires de Naples à Paris !

Vraiment déçue par cette exposition qui n'en est pas une... car elle est disséminée, n'a pas d'unité. Elle noyée par le flot des personnes qui visitent le musée en entier. Les émotions ressenties devant les trésors des îlots 2 et 3 sont impossibles à conserver pleinement et à savourer devant ceux de la Grande Galerie. Hall de gare, c'est bien le bon terme malheureusement... Les belles affiches, la publicité : anticipation d'un plaisir qui n'a pas été au rendez-vous.