Gatomaquia, O Israel Galvan bailando para cuatro gatos

Un artiste remarquable dans son bac à sable. Belle exploration des rythmes et des sons à travers différents matériaux.
Une danseuse aussi très explosive et bien cohérent dans son rôle.
Cependant zéro mise en scène, zéro direction artistique, aucune définition des personnages ni de ce que l’on veut raconter et des lumières qui brillent par leur absence.
On se demande ce qu’un artiste aussi talentueux fout avec ce groupe de personnes à la présence scénique et la compétence si insipides.
Pourtant le patriarche et soi disant maître de cérémonie tente de nous vendre un «événement » faussement décontracté, alors qu’il se permet de faire subir un stress violent d’1h30 à un pauvre chat terrorisé qui, pour justifier du titre Gatomaquia, est attaché à l’un des planchers où les 2 danseurs font leur zapateao, percussions avec les pieds, parfois même sur du métal. C’est cruel, ça ne sert pas le spectacle.
Israël, eres un pedazo de artista! rodéate de los mejores, de buena gente que sirva la mayor expresión de tu luz!