Chorégraphie Jean-Claude Gallotta. Avec Sarah Barrau, Christophe Delachaux, Ximena Figueroa, Ibrahim Guétissi, Mathieu Heyraud, Georgia Ives, Cécile Renard, Gaetano Vaccaro, Thierry Verger, Béatrice Warrand et un groupe de 20 intervenants.
Genre :
Danse
Lieu : Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt, Paris 4e
Date de début : 31 octobre 2012
Date de fin : 10 novembre 2012
Programmation : Dates et horaires : cet évènement est désormais terminé
Présentation
La chronique chorégraphique est un genre imaginé en 2008. Ces chroniques - dont le titre est un hommage à un article du journaliste-écrivain Hervé Guibert) - sont une façon d'être à la scène la plus libre possible. Ceux qui dansent, qui ont dansé, qui aimeraient bien et ceux qui ne danseront peut-être jamais se rencontrent. Ils passent, ils pensent, ensemble sur la scène, ou à tour de rôle...
Le spectacle Racheter la mort des gestes - Chroniques chorégraphiques 1 est référencé dans notre rubrique Opéras / Ballets-Danse.
Derniers avis sur le spectacle : Racheter la mort des gestes - Chroniques chorégraphiques 1
Avis publié par karminhaka le 6 novembre 2012
Tisser une trame chorégraphique autour d'un titre, ça pourrait être un pur exercice de style. Entre les mains de Gallota, et dans la continuité de ses chroniques chorégraphiques, la référence littéraire devient une appropriation qui lui permet de donner un spectacle vibrant, humain, vertigineux par les frottements incessants de formes multiples. Gallota revient avec bonheur à la scène et en mêlant amateurs et professionnels, extraits de films, vidéo, saynètes chorégraphiques, arrive à la hauteur des grandes recherches chorégraphiques contemporaines qui dépassent la simple question de la restitution de la danse.
Principaux artistes liés à l'événement
Thierry Verger est à l'affiche de Pénélope (danse - Théâtre du Rond-Point) en 2023, Le jour se rêve (danse - Théâtre du Rond-Point) en 2022, My Ladies Rock (danse - Théâtre du Rond-Point) en 2018 ou encore Au pied du rêve (Café de la Danse) en 2016.
Ximena Figueroa est à l'affiche de Le jour se rêve (danse - Théâtre du Rond-Point) en 2022, 2147, et si l'Afrique disparaissait ? (interprétation - Tarmac) en 2019, L'Étranger (Théâtre de la Ville - Les Abbesses) en 2016 ou encore My Rock (Théâtre du Rond-Point) en 2015.
Georgia Ives est à l'affiche de Le jour se rêve (danse - Théâtre du Rond-Point) en 2022, Électre des bas-fonds (interprétation - Théâtre du Soleil) en 2022, My Ladies Rock (danse - Théâtre du Rond-Point) en 2018 ou encore My Rock (Théâtre du Rond-Point) en 2015.
Ibrahim Guétissi est à l'affiche de Pénélope (danse - Théâtre du Rond-Point) en 2023, Le jour se rêve (danse - Théâtre du Rond-Point) en 2022, My Ladies Rock (danse - Théâtre du Rond-Point) en 2018 ou encore My Rock (Théâtre du Rond-Point) en 2015.
Christophe Delachaux est à l'affiche de Le Bonheur des uns (Théâtre 71) en 2011.
Au cinéma, Christophe Delachaux a interprété Polo dans Des gens passent et j'en oublie en 2019, Dis-moi que je rêve en 1998 ou encore Rei Dom ou la légende des Kreuls en 1989.
Les autres spectacles à l'affiche
Coordonnées du lieu
Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt
Adresse : 2 place du Châtelet 75004 Paris 4eRéservation : 01.42.74.22.77 lun au sam 11h - 19h (sf fériés)
Site web : www.theatredelaville-paris.com
Transports
Bus : Châtelet (21 / 38 / 47 / 58 / 67 / 69 / 70 / 74 / 76 / 85 / N11 / N12 / N13 / N14 / N15 / N16 / N21 / N22 / N23 / N24 / N122), Cité - Palais de Justice (21 / 38 / 47 / 58 / 70 / 96 / N12 / N13 / N14 / N15 / N21 / N22), Pont Neuf - Quai du Louvre (21 / 27 / 58 / 67 / 69 / 70 / 72 / 74 / 85 / N11 / N15 / N16 / N24), Châtelet - Quai de Gesvres (58 / 67 / 69 / 70 / 72 / 96 / N11 / N15 / N16 / N21 / N24), Hôtel de Ville (67 / 69 / 70 / 72 / 75 / 76 / 96 / N11 / N16 / N21), Rivoli - Châtelet (21 / 72 / 74), Châtelet / Coutellerie (38 / 75 / 96 / N23), Cité - Parvis Notre-Dame (47 / 75 / N15 / N22), Pont d'Arcole (75)
Plan d'accès
2 place du Châtelet
1 avis sur Racheter la mort des gestes - Chroniques chorégraphiques 1
Avis publié par karminhaka le 6 novembre 2012
Tisser une trame chorégraphique autour d'un titre, ça pourrait être un pur exercice de style. Entre les mains de Gallota, et dans la continuité de ses chroniques chorégraphiques, la référence littéraire devient une appropriation qui lui permet de donner un spectacle vibrant, humain, vertigineux par les frottements incessants de formes multiples. Gallota revient avec bonheur à la scène et en mêlant amateurs et professionnels, extraits de films, vidéo, saynètes chorégraphiques, arrive à la hauteur des grandes recherches chorégraphiques contemporaines qui dépassent la simple question de la restitution de la danse.
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