De et mise en scène Sylvain Creuzevault.
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Avec Juliette Bialek, Valérie Dréville, Vladislav Galard, Pierre-Félix Gravière, Arthur Igual, Charlotte Issaly, Frédéric Noaille, Lucie Rouxel, Antonin Rayon.
Genres :
Théâtre contemporain, Politique, Société
Lieu : Points communs - Théâtre des Louvrais, Pontoise
Date de début : 30 mai 2024
Date de fin : 31 mai 2024
Durée : 2h30
Programmation : Dates et horaires : cet évènement est désormais terminé
Présentation
Sylvain Creuzevault s’empare de figures historiques : écrivains et hommes politiques choisis au sein de l’extrême droite française, de la fin des années 1930 jusqu’à la collaboration et à l’épuration, sauvage puis légale, où certains trouveront leur fin. Se rappellent ainsi à notre bon souvenir Doriot, Déat, Laval, Rebatet, Brasillach, Céline, Brinon et quelques autres. Leurs discours, leurs livres, leurs mots sont des matériaux du spectacle.
C’est suite à un travail sur la résistance allemande pendant le régime nazi que la compagnie a décidé de s’intéresser, symétriquement, au fascisme français dans la même période. Mais la question ne change pas : en scrutant le fascisme, c’est aussi l’antifascisme qu’on sonde – ce qu’il est, ce qu’il peut, et fait, ou pas. Il ne s’agit pas d’une reconstitution historique, mais d’une comédie écrite au moment du danger. Maintenant.
Le spectacle Edelweiss [France Fascisme] est référencé dans notre rubrique Pièces de théâtre.
Derniers avis sur le spectacle : Edelweiss [France Fascisme]
Avis publié par David le 15 octobre 2023, réservé via L'Officiel des spectacles (Odéon - Ateliers Berthier)
Totalement original, mise en scène surprenante (dans le bon sens du terme). Immense créativité de Sylvain Creuzevault. Une très bonne soirée.
Avis publié par Martine NERON le 2 octobre 2023, réservé via L'Officiel des spectacles (Odéon - Ateliers Berthier)
Spectacle NÉCESSAIRE !
Très vivant, excellents acteurs, un sujet ambigu, difficile à traiter, mais le propos du metteur en scène est très clair. Et en plus, c'est drôle !
Avis publié par Maya le 27 septembre 2023 (Odéon - Ateliers Berthier)
Ce spectacle m’a laissée avec un goût âcre dans l’âme. J’ai plus de plaisir et d’intérêt à écouter les interviews du metteur en scène à la radio ou dans les journaux, qui parle vraiment pertinemment de son travail et de la période historique sur laquelle il s’appuie, que de voir le résultat au plateau, simpliste et pour le coup, très lassant. Oui. Ok moi aussi je sais ce que c’est que la distanciation brechtienne, mais pourquoi donc faire parler les acteurs tout le long avec des accents ultra forcés (travail sur les accents de l’époque, c’est intéressant en théorie et à petite dose mais là….) et les emprisonner dans la forme de marionnette au lieu de leur faire un peu plus confiance ? Surtout pour les plus jeunes, motivées et tout juste sorties d’école et transformées en singes savants zélés qui exécutent parfaitement leur numéro ? (Et courage au petit ange blond du désespoir qui reste coincé dans son symbole au plafond faute de texte attribué, ça m’a fait trop mal au cœur de voir ça. Surtout en ce moment.)
Principaux artistes liés à l'événement
Valérie Dréville est à l'affiche de Schwanengesang D744 (interprétation - MC 93) en 2025, I want your text #9 - L’art du débutant (texte - Nouveau Gare au Théâtre) en 2024 ou encore Un sentiment de vie (mise en scène - Théâtre des Bouffes du Nord) en 2024.
Au cinéma, Valérie Dréville a interprété la présidente dans Saint Omer en 2022, Merveilles à Montfermeil en 2019 ou encore Suite armoricaine en 2015.
Arthur Igual est à l'affiche de Croyances (interprétation - Théâtre 13 - Glacière) en 2025, Banquet capital (interprétation - MC 93) en 2024 ou encore Je suis perdu (interprétation - Théâtre de la Tempête) en 2024.
Au cinéma, Arthur Igual a interprété Émile Zola dans Sarah Bernhardt, la divine en 2024, Comme une louve en 2023 ou encore Falcon Lake en 2022.
Vladislav Galard est à l'affiche de Fusées (texte - Théâtre de Gennevilliers (T2G)) en 2025, L'Histoire du soldat (interprétation - Théâtre du Châtelet) en 2025, Dans le cerveau de Maurice Ravel (texte, interprétation - Théâtre Silvia Monfort) en 2025 ou encore Banquet capital (interprétation - MC 93) en 2024.
Pierre-Félix Gravière est à l'affiche de Bérénice (interprétation - Théâtre 71) en 2023, Les Imprudents (interprétation - Théâtre 71) en 2023, Le Moment psychologique (interprétation - Théâtre Ouvert) en 2023 ou encore Comme il vous plaira (Totus mondus agit histrionem) (interprétation - Théâtre 71) en 2018.
Sylvain Creuzevault est à l'affiche de Banquet capital (mise en scène - MC 93) en 2024, L'Esthétique de la résistance (adaptation, mise en scène - MC 93) en 2023 ou encore Les Frères Karamazov (mise en scène, interprétation - Odéon - Théâtre de l'Europe) en 2023.
Au cinéma, Sylvain Creuzevault a interprété Edmond Rostand dans Sarah Bernhardt, la divine en 2024.
Coordonnées du lieu
Points communs - Théâtre des Louvrais
Adresse : Place de la Paix Cergy-Pontoise 95300 PontoiseRéservation : 01.34.20.14.14
Site web : points-communs.com
Transports
Plan d'accès
Place de la Paix Cergy-Pontoise
3 avis sur Edelweiss [France Fascisme]
Avis publié par David le 15 octobre 2023, réservé via L'Officiel des spectacles (Odéon - Ateliers Berthier)
Totalement original, mise en scène surprenante (dans le bon sens du terme). Immense créativité de Sylvain Creuzevault. Une très bonne soirée.
Avis publié par Martine NERON le 2 octobre 2023, réservé via L'Officiel des spectacles (Odéon - Ateliers Berthier)
Spectacle NÉCESSAIRE !
Très vivant, excellents acteurs, un sujet ambigu, difficile à traiter, mais le propos du metteur en scène est très clair. Et en plus, c'est drôle !
Avis publié par Maya le 27 septembre 2023 (Odéon - Ateliers Berthier)
Ce spectacle m’a laissée avec un goût âcre dans l’âme. J’ai plus de plaisir et d’intérêt à écouter les interviews du metteur en scène à la radio ou dans les journaux, qui parle vraiment pertinemment de son travail et de la période historique sur laquelle il s’appuie, que de voir le résultat au plateau, simpliste et pour le coup, très lassant. Oui. Ok moi aussi je sais ce que c’est que la distanciation brechtienne, mais pourquoi donc faire parler les acteurs tout le long avec des accents ultra forcés (travail sur les accents de l’époque, c’est intéressant en théorie et à petite dose mais là….) et les emprisonner dans la forme de marionnette au lieu de leur faire un peu plus confiance ? Surtout pour les plus jeunes, motivées et tout juste sorties d’école et transformées en singes savants zélés qui exécutent parfaitement leur numéro ? (Et courage au petit ange blond du désespoir qui reste coincé dans son symbole au plafond faute de texte attribué, ça m’a fait trop mal au cœur de voir ça. Surtout en ce moment.)
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