Aujourd'hui, c'est mon anniversaire

Pas sensible à ce spectacle auquel j’ai assisté sans émotion et bien que les acteurs/danseurs soient très impliqués.

Dès que nous franchissons la porte du théâtre, nous sommes plongés dans une atmosphère surréaliste unique. Sur scène, la fusion des genres (danse, musique, théâtre) permet une immersion totale dans l’univers radical du TEC, portée par l’interprétation juste et incarnée des artistes. L’absence de dialogue ne rend pas la pièce inaccessible, bien au contraire ! Chaque spectateur est libre d’y superposer ses propres souvenirs, émotions, sentiments et d’en tirer une interprétation intime, profondément bouleversante.

Spectaculairement mystérieux. A découvrir absolument.

Bravo et merci à toute la troupe. Spectacle envoûtant, plein les yeux, plein les oreilles, le plein d'émotions. Et encore merci.

Comment passer devant le 20, rue Marsoulan, dans le 12ème arrondissement de Paris, et ne pas s’arrêter devant cette entrée, toute de rouge vêtue, aux initiales du T.E.C. Non seulement s’arrêter mais pousser la porte de ce lieu magique, surprenant, écrin chaud, accueillant et y découvrir la dernière création de la maîtresse de ce lieu, Elizabeth Czerczuk, « AUJOURD’HUI C’EST MON ANNIVERSAIRE » pièce inachevée de Tadeusz Kantor, mort un mois avant la première représentation.
Cette œuvre est restée inachevée jusqu’en 2022, année où Elizabeth Czerczuk a décidée de lui donner une fin. La pièce se trouve ainsi sublimée par cette grande professionnelle qui ne vit que pour le théâtre. C’est plus qu’un grand hommage qu’elle rend à Tadeusz Kantor, c’est un véritable tour de force. Nous pouvons dire ici qu’elle est au sommet de son Art, brillante, éblouissante, émouvante. Son spectacle est à sa hauteur, scénographie réglée comme un métronome, éclairages, musique… Elle a su tirer la quintessence de tous ses artistes, danseuses, danseurs, comédiennes, comédiens, musiciens, lesquels font également partie intégrante du spectacle. Zbigniew Rola explose littéralement, dur, violent, éploré, attendrissant, perdu.
Elizabeth Czerczuk trace inlassablement son sillon dans sa recherche d’une forme théâtrale proche de l’Art total, dans un univers de catharsis qui ne peut nous laisser indifférents.
Thomas Lowns

Envoûtant.

A beautiful work, full of dazzling intensity.

Surprenant !!! Très loin de l’idée qu’on peut se faire du « théâtre classique ». Un mélange explosif d’émotions, de sensations, de musique, de visuels…
Pas tout compris de l’histoire mais fait le plein d’étonnements !!
Jeux d’acteurs, musiciens et mise en scène exceptionnels !

J'ai été très surpris par ce spectacle et l'ambiance qui est très étonnante, on se sent plonger dans un univers totalement autre auquel on aurait pas pensé. Mais paradoxalement les scènes et les modes d'expression nous rappellent l'actualité. Le mélange de la danse, de la musique, de la dramaturgie est très intéressante. Il y a pas mal d'actions simultanées qui nous font regarder dans tous les sens à des endroits divers et variés. Enfin un spectacle qui nous sort du commun.

Vu samedi soir au Théâtre Elizabeth Czerczuk.
Un spectacle que je ne saurai trop d’écrire, ce n’est ni du théâtre, ni de la danse, ni de la comédie musicale, mais de l’Art Total. Je retournerai voir « Aujourd’hui c’est mon Anniversaire » car il y a tant à voir et à découvrir.
La mise en scène d’Elizabeth Czerczuk est irréprochable, les musiciens sont intégrés au spectacle, danseuses, danseurs, comédiennes, comédiens, tous sont à la hauteur. A commencer par l’apparition de l’émouvante Chantal Pavèse, toute de noir vêtu, un bébé dans les bras et aussi la charismatique Elizabeth Czerczuk en fragile poupée, sans parler de Zbigniew Rola à la présence indéniable que le retrouve un peu plus tard dans passage poignant avec Chantal Pavèse.
Quant au final cette magnifique valse avec Gaëtan Le Marchand et Elizabeth Czerczuck au corps complètement désarticulé, véritable marionnette mécanique, sublime. Je ne peux malheureusement pas citer tous les artistes, pourtant ils le méritent. Pour finir magnifiques costumes de Joanna Jasko-Sroka.
Hetty

Elizabeth Czerczuk au sommet de son art, brillante, éblouissante, émouvante, son spectacle est à sa hauteur, mise en scène réglée comme un métronome, de même pour les éclairages et, cerise sur le gâteau, des musiciens sur scène qui font partie intégrante du spectacle.
Zbigniew Rola explose littéralement, dur, violent, éploré, attendrissant, perdu.
D’excellentes danseuses et danseurs, notamment celui qui entraîne Elizabeth Czerczuk, poupée désarticulée, dans une dernière valse.
Les comédiennes et les comédiens ne sont pas en reste.
C’est certain, je reviendrai.

L'ambiance y est palpable, il fait sombre, aussitôt installé que le voyage commence par une superbe valse ! Sur scène, une vingtaine de comédiens et danseurs accompagnés de quatre musiciens (contrebasse, violon, bandonéon et percussions) revêtant tous des costumes originaux et loufoques rendent l'atmosphère irréelle. Plus le spectacle avance, plus chacun des spectateurs est entraîné, aspiré dans cet univers entre la vie et la mort, l'amour et la guerre. J'étais complètement bouleversé à la fin du spectacle, je remercie E. Czerzcuk de m'avoir fait vivre cette expérience unique, orchestrée de manière remarquable, et je recommande vivement ce Théâtre unique à Paris !

C’est une Grande Messe à laquelle j’ai assisté lors de la première, peut-être le plus grand spectacle qu’ait créé Elizabeth Czerczuk, elle a réussi un véritable tour de force. Tout contribuait à cette réussite, danseurs, danseuses, comédiens, comédiennes, musiciens présents sur scène, éclairages, bandes sons. Le ciment de ce spectacle Elizabeth Czerczuk l’a trouvé dans sa mise en scène, scénographie devrais-je dire, elle y a englouti toutes ses forces, tout son amour pour le théâtre.
Et que dire de cette valse avec un grand danseur où elle se transforme en une poupée désarticulée, quelle émotion. Quant à Zbigniew Rola il a atteint un sommet, nous prenant aux tripes dans sa détresse.
Je pourrais citer tous ses artistes mais je n’en finirais pas.
Un grand et bel hommage à Tadeusz Kantor.