Réalisation :
Nicolas Philibert
Genre : Documentaire
Nationalité : France
Durée : 1h45
Année de production : 2018
Date de sortie (ou ressortie) : 29 août 2018
Présentation
Au sein de l'Institut de formation en soins infirmiers, on suit le quotidien des étudiants : les cours où ils apprennent la théorie, les travaux pratiques où ils simulent les soins sur des mannequins ou sur leurs collègues de formation, les stages où ils font face à la réalité et à de véritables patients, et enfin le retour de stage et les échanges avec les formateurs qui permettent de mettre en exergue l’importance de la relation soignant / soigné. Certains en reviennent convaincus d'avoir choisi la bonne voie alors que d'autres se mettent à douter.
De chaque instant : la distribution
Réalisation : Nicolas Philibert
Distribution technique : Nicolas Philibert (direction artistique)
Avant De chaque instant, Nicolas Philibert a réalisé La Maison de la radio en 2012, Nénette en 2009 , Retour en Normandie en 2007 et Être et avoir en 2002.
Derniers avis sur le film : De chaque instant
Avis publié par Arlette le 2 septembre 2018
Bravo à Nicolas Philibert pour avoir mis à l'honneur les "blouses blanches", pas les médecins mais les infirmiers et infirmières, ou plus précisément ceux qui veulent le devenir. Au fil de l'apprentissage, on passe de la théorie à la pratique (moments de fou-rire garantis) puis à la rencontre avec le "malade", un être fragile et inquiet que les élèves se doivent d'apprivoiser. Mais si on les sent finalement assez à l'aise, tous ces jeunes, ce n'est tout de même pas au point d'avoir envie de tester leurs services.
Avis publié par claude michaux le 31 août 2018
S'il n'y avait que les deux premières parties, on pourrait parler d'un ramassis de clichés, le tout légèrement ennuyeux. Malheureusement la 3e partie est le comble de l'ennui. Dommage qu'une profession difficile, mal rémunérée, soit si mal présentée ! Le cinéaste a fait mieux dans le passé !
2 avis sur De chaque instant
Avis publié par Arlette le 2 septembre 2018
Bravo à Nicolas Philibert pour avoir mis à l'honneur les "blouses blanches", pas les médecins mais les infirmiers et infirmières, ou plus précisément ceux qui veulent le devenir. Au fil de l'apprentissage, on passe de la théorie à la pratique (moments de fou-rire garantis) puis à la rencontre avec le "malade", un être fragile et inquiet que les élèves se doivent d'apprivoiser. Mais si on les sent finalement assez à l'aise, tous ces jeunes, ce n'est tout de même pas au point d'avoir envie de tester leurs services.
Avis publié par claude michaux le 31 août 2018
S'il n'y avait que les deux premières parties, on pourrait parler d'un ramassis de clichés, le tout légèrement ennuyeux. Malheureusement la 3e partie est le comble de l'ennui. Dommage qu'une profession difficile, mal rémunérée, soit si mal présentée ! Le cinéaste a fait mieux dans le passé !
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