Réalisation :
Frank Beauvais
Genre : Documentaire
Nationalité : France
Durée : 1h15
Année de production : 2019
Date de sortie (ou ressortie) : 25 septembre 2019
Présentation
Seul dans un petit village alsacien depuis une rupture amoureuse six mois auparavant, Frank Beauvais raconte son quotidien de janvier à octobre 2016. Reclus, hormis lors de promenades très bénéfiques en forêt, il survit en revendant sur Internet disques, DVD et livres. Chaque jour, chaque nuit surtout, il trouve du réconfort dans le visionnage de trois, quatre ou cinq films. Le monde se rappelle à lui avec les échos de l’état d’urgence et des dérives sécuritaires, le souvenir d’un père détesté qui est venu mourir chez lui, par de courts voyages à Paris et à Lisbonne.
Ne croyez surtout pas que je hurle : la distribution
Réalisation : Frank Beauvais
Distribution technique : Frank Beauvais (scénario)
Frank Beauvais a écrit et réalisé Ne croyez surtout pas que je hurle. Précédemment, Frank Beauvais a aussi réalisé La Guitare de diamants en 2009, Le soleil et la mort voyagent ensemble en 2006 et Compilation, 12 instants d'amour non partagé en 2006.
Derniers avis sur le film : Ne croyez surtout pas que je hurle
Avis publié par MADDALUNO le 12 octobre 2019
"Ne croyez surtout pas que je hurle", film de Frank Beauvais, raconte après sa séparation : il quitte Paris pour trouver refuge chez sa mère et son beau-père dans les Vosges alsacienne qui durant 6 mois visionnera 400 films.
Très bon film captivant car, durant 1h15, il raconte son histoire personnelle illustrée par des morceaux de ces films parfois quelques secondes collant au sujet (un travail de mémoire impressionnant) ce qui est original car on a tendance soit à suivre son récit et/ou de reconnaître les extraits de films de l'histoire du cinéma mondial, chose extrêmement difficile.
De plus son récit est réaliste en décrivant l'état de la société actuelle. J'ai pu reconnaître les verres oasis de chez mes parents avec les plots ovales à leur base.
A voir ce petit bijou rare. Hélas il ne passe qu'au MK2 Beaubourg et le Reflet Médicis à Paris et quelques salles en banlieue.
Avis publié par HELENA le 12 octobre 2019
Un film détestable de par le nombrilisme de son auteur, qui passe à côté de l’exercice d’examen des affres de la dépression. D’une voix monotone est scandé un texte hyperbolique et pourtant lisse, sans intérêt et profondément ingrat. On aurait pu s’attendre à un film dur sur cette période de la vie du réalisateur : ce ne sera qu’une litanie prétentieuse et sordides d’une cinéphile très sélective, dont on veut qu’elle échappe au spectateur. Aucune sensibilité ici : si vous pensiez trouver un renouveau de la forme ou un cri déchirant, c’est ici chose manquée. Quel dommage.
Avis publié par Gilles le 3 octobre 2019
Un film inédit et envoûtant. A conseiller sans réserves.
Avis publié par sonia le 27 septembre 2019
Ne croyez surtout pas qu'un nouveau Houellebecq est né !
Ni créatif, ni récréatif, ce film est un pensum.
On s'ennuie vraiment très ferme dès la première seconde à l'écoute de litanie moribonde psalmodiée sur un kamoulox d'images d'une absolue pauvreté (dont on se détourne immédiatement pour préserver sa rétine).
La France manque visiblement de réalisateurs à financer, lancez-vous !
4 avis sur Ne croyez surtout pas que je hurle
Avis publié par MADDALUNO le 12 octobre 2019
"Ne croyez surtout pas que je hurle", film de Frank Beauvais, raconte après sa séparation : il quitte Paris pour trouver refuge chez sa mère et son beau-père dans les Vosges alsacienne qui durant 6 mois visionnera 400 films.
Très bon film captivant car, durant 1h15, il raconte son histoire personnelle illustrée par des morceaux de ces films parfois quelques secondes collant au sujet (un travail de mémoire impressionnant) ce qui est original car on a tendance soit à suivre son récit et/ou de reconnaître les extraits de films de l'histoire du cinéma mondial, chose extrêmement difficile.
De plus son récit est réaliste en décrivant l'état de la société actuelle. J'ai pu reconnaître les verres oasis de chez mes parents avec les plots ovales à leur base.
A voir ce petit bijou rare. Hélas il ne passe qu'au MK2 Beaubourg et le Reflet Médicis à Paris et quelques salles en banlieue.
Avis publié par HELENA le 12 octobre 2019
Un film détestable de par le nombrilisme de son auteur, qui passe à côté de l’exercice d’examen des affres de la dépression. D’une voix monotone est scandé un texte hyperbolique et pourtant lisse, sans intérêt et profondément ingrat. On aurait pu s’attendre à un film dur sur cette période de la vie du réalisateur : ce ne sera qu’une litanie prétentieuse et sordides d’une cinéphile très sélective, dont on veut qu’elle échappe au spectateur. Aucune sensibilité ici : si vous pensiez trouver un renouveau de la forme ou un cri déchirant, c’est ici chose manquée. Quel dommage.
Avis publié par Gilles le 3 octobre 2019
Un film inédit et envoûtant. A conseiller sans réserves.
Avis publié par sonia le 27 septembre 2019
Ne croyez surtout pas qu'un nouveau Houellebecq est né !
Ni créatif, ni récréatif, ce film est un pensum.
On s'ennuie vraiment très ferme dès la première seconde à l'écoute de litanie moribonde psalmodiée sur un kamoulox d'images d'une absolue pauvreté (dont on se détourne immédiatement pour préserver sa rétine).
La France manque visiblement de réalisateurs à financer, lancez-vous !
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