Réalisation :
Malik Bendjelloul
Genre : Documentaire
Titre original : Searching for Sugar Man
Nationalité : Royaume-Uni, Suède
Durée : 1h25
Année de production : 2012
Date de sortie (ou ressortie) : 26 décembre 2012
Distributeur : ARP Sélection
Présentation
Chanteur métissé au début des années 70, Sixto Rodriguez enregistra deux albums sous le label de Motown, la firme qui produisit, entre autres, Diana Ross et les Jackson Five avec notamment Michael Jackson. Mais suite à l'échec cuisant de ces deux projets, le chanteur disparut complètement. C'est en Afrique du Sud qu'il va, bien malgré lui, devenir culte, son disque apparaissant comme le symbole de la lutte contre l'apartheid. Des années plus tard, deux fans démarrent une enquête pour retrouver Rodriguez et comprendre ce qu'il a traversé.
Présenté lors de la 28e édition du festival de Sundance (Festival du cinéma indépendant, créé par Robert Redford), ce premier long-métrage de Malik Bendjelloul y a obtenu le prix spécial du jury et le prix du public. Il dépeint avec subtilité le parcours étonnant et les combats d'un artiste méconnu.
Sugar Man : la distribution
Réalisation : Malik Bendjelloul
Distribution technique : Malik Bendjelloul (scénario)
Derniers avis sur le film : Sugar Man
Avis publié par alain levy le 13 mars 2013
tout simplement grandiose!
Avis publié par art3facts le 4 mars 2013
Probablement le plus mauvais hommage que l'on puisse faire à un artiste méconnu tel que celui ci. Le film se veut jouer dans la court des film documentaire alors qu'il ressemble d'avantage à une pauvre reconstitution faisant appel à des témoins qu'on pourrait trouver sur direct 8.
Bref, l'humilité de Sixto Rodriguez est à la hauteur de l'appétit de ceux qui bouffent l'espace en se représentant tel d'incroyables détectives inintéressants menant leur pauvre enquête à partir de la couverture d'un vinyle insignifiante alors que le contexte historique et la violence des images de l'époque sont tout juste évoquée.
Je me suis demandé à plusieurs reprise quel était l'intérêt de voir un ancien acteur avec son sourire sterafixe nous déballer sa dernière réplique dans son univers aseptisé de souvenirs carton bouffés aux mites nous feinter l'émotion... ainsi qu'une ribambelle d'intervenant venu se taper l'affiche à l'écran. J'ai fini par comprendre que ce film à la plastique minable mettaitt en valeur les qualité intrinsèques de l'humilité au travers de toutes les personnes qui gravitent par intérêt autour de l'art.
Sixto Rodriguez est resté indépendant jusque dans le mauvaise hommage qui lui ait fait. Révérence à l'artiste et glaviots aux gratteurs d'image.
Un film baclé qui aurait pu prendre une autre allure s'il y avait eu une direction artistique et un peu plus politisé.
Avis publié par Éric le 3 janvier 2013
Un documentaire magnifique sur un musicien encore trop méconnu, un homme trop simple et trop bon pour ce monde.
L'histoire incroyable de son succès en Afrique du Sud, de sa (fausse) disparition et de sa redécouverte grâce à la persévérance de passionnés.
Ou comment l'industrie de la musique peut laisser tomber d'authentiques génies (combien d'autres ?)...
Également programmés à Paris et en Île-de-France :
3 avis sur Sugar Man
Avis publié par alain levy le 13 mars 2013
tout simplement grandiose!
Avis publié par art3facts le 4 mars 2013
Probablement le plus mauvais hommage que l'on puisse faire à un artiste méconnu tel que celui ci. Le film se veut jouer dans la court des film documentaire alors qu'il ressemble d'avantage à une pauvre reconstitution faisant appel à des témoins qu'on pourrait trouver sur direct 8.
Bref, l'humilité de Sixto Rodriguez est à la hauteur de l'appétit de ceux qui bouffent l'espace en se représentant tel d'incroyables détectives inintéressants menant leur pauvre enquête à partir de la couverture d'un vinyle insignifiante alors que le contexte historique et la violence des images de l'époque sont tout juste évoquée.
Je me suis demandé à plusieurs reprise quel était l'intérêt de voir un ancien acteur avec son sourire sterafixe nous déballer sa dernière réplique dans son univers aseptisé de souvenirs carton bouffés aux mites nous feinter l'émotion... ainsi qu'une ribambelle d'intervenant venu se taper l'affiche à l'écran. J'ai fini par comprendre que ce film à la plastique minable mettaitt en valeur les qualité intrinsèques de l'humilité au travers de toutes les personnes qui gravitent par intérêt autour de l'art.
Sixto Rodriguez est resté indépendant jusque dans le mauvaise hommage qui lui ait fait. Révérence à l'artiste et glaviots aux gratteurs d'image.
Un film baclé qui aurait pu prendre une autre allure s'il y avait eu une direction artistique et un peu plus politisé.
Avis publié par Éric le 3 janvier 2013
Un documentaire magnifique sur un musicien encore trop méconnu, un homme trop simple et trop bon pour ce monde.
L'histoire incroyable de son succès en Afrique du Sud, de sa (fausse) disparition et de sa redécouverte grâce à la persévérance de passionnés.
Ou comment l'industrie de la musique peut laisser tomber d'authentiques génies (combien d'autres ?)...
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