Musées, Expositions Peinture Beaux-Arts Choix de la rédaction

Genre : Peinture
Lieu : Fondation Cartier pour l'art contemporain, Paris 14e
Date de début : 3 juillet 2022
Date de fin : 6 novembre 2022

Programmation : Dates et horaires : cet évènement est désormais terminé
Fermetures : Lieu fermé le lundi, le 1 janvier, le 25 décembre
Site web : www.fondationcartier.com

Pour le confort et la santé de tous, merci de respecter les consignes sanitaires mises en œuvre par les lieux culturels : présentation d'un "pass sanitaire", port du masque, usage de gel hydroalcoolique et distanciation physique.

Présentation

En quelques années de création (2004-2015), Sally Gabori réalise une œuvre aux couleurs vibrantes sans attache apparente avec d’autres courants esthétiques, notamment au sein de la peinture aborigène contemporaine. Le parcours d'exposition, qui réunit une trentaine de peintures monumentales, met en lumière une artiste dont l’œuvre fascine par son caractère spontané, lumineux et original.

C'est la première exposition personnelle de l’artiste aborigène Mirdidingkingathi Juwarnda Sally Gabori hors de l’Australie. Cette dernière, considérée comme l’une des plus grandes artistes contemporaines australiennes de cette dernière décennie, commence à peindre en 2004, vers l’âge de 80 ans. Elle atteint rapidement une renommée artistique nationale et internationale. Cette exposition est réalisée en collaboration avec la famille de l’artiste, la communauté kaiadilt, ainsi qu’avec des spécialistes de l’art et de la culture kaiadilt.

L'exposition Mirdidingkingathi Juwarnda Sally Gabori est référencée dans notre rubrique Beaux-Arts.

Derniers avis sur l'exposition : Mirdidingkingathi Juwarnda Sally Gabori

Avis publié par Fab le 22 octobre 2022

Magnifique, je voulais découvrir cette artiste, je n’ai pas été déçu, quelle claque ! Ça fait plaisir à voir, j’ai été conquis par son travail, la taille des formats, la vivacité, la luminosité de l’œuvre . Les toiles dans les salles du bas sont incroyables, quelle force. Bravo !

Avis publié par marie odile le 9 septembre 2022

Cette exposition ne présente aucun intérêt.

Avis publié par Ronald le 24 août 2022

La fin de la civilisation telle que nous la connaissons. J'ai l'impression que l'élite artistique parisienne se moque de nous, encore une fois.

Avis publié par huys le 20 août 2022

C’est à voir et c’est grandiose. Il faut absolument y aller, d’une part parce que c’est sublime, d’autre part parce que c’est, à ma connaissance, un cas unique dans l’histoire de l’art, puisqu’il s’agit d’une femme qui commence réellement à peindre à l’âge de 80 ans, qui trouve d’emblée sa voie et se révèle être géniale. Ce sont des peintures abstraites très grands formats, avec un souffle magnifique, une forte luminosité, et un mouvement fascinant dans le pinceau. Sally Gabori, est une authentique aborigène australienne, mais sa peinture n’a rien « d’ethnique » comme on pourrait le présupposer. C’est un art résolument moderne. Elle a commencé à peindre alors qu’elle vit dans une sorte d’Ephad. Elle est donc au cœur de l’intersectionnalité : femme, aborigène, vieille de surcroit. Elle n’a eu besoin de personne pour se révéler – si ce n’est la fréquentation sur le tard d’un atelier d’art et d’artisanat. Cela veut dire que tout le discours sociologique actuel sur l‘intersectionnalité, évidemment mâtiné de bourdieusisme, c’est largement du flan. Cela veut dire aussi que le génie n’a pas besoin de subventions étatiques pour éclore. Peut-être même que ces dernières étouffent le génie. Finalement, à l’autre extrémité de l’échelle des âges, on peut dire qu’elle fait pendant à Basquiat.

Avis publié par Jérôme le 14 août 2022

Très belle exposition.

Coordonnées du lieu

Fondation Cartier pour l'art contemporain

Adresse : 261 boulevard Raspail 75014 Paris 14e

Transports

Métro : Raspail (4 / 6)
Bus : Denfert-Rochereau - Arago (38 / N14 / N21 / N122), Denfert-Rochereau - Froidevaux (59 / 88), Denfert-Rochereau (38 / 59 / 64 / 68 / 88 / N14 / N21), Hôpital Saint-Vincent de Paul (38 / N14 / N21), Raspail - Edgar Quinet (68), Denfert-Rochereau - Saint-Jacques (64)

Plan d'accès

Fondation Cartier pour l'art contemporain - Paris 14e
261 boulevard Raspail

6 avis sur Mirdidingkingathi Juwarnda Sally Gabori

Avis publié par Fab le 22 octobre 2022

Magnifique, je voulais découvrir cette artiste, je n’ai pas été déçu, quelle claque ! Ça fait plaisir à voir, j’ai été conquis par son travail, la taille des formats, la vivacité, la luminosité de l’œuvre . Les toiles dans les salles du bas sont incroyables, quelle force. Bravo !

Avis publié par marie odile le 9 septembre 2022

Cette exposition ne présente aucun intérêt.

Avis publié par Ronald le 24 août 2022

La fin de la civilisation telle que nous la connaissons. J'ai l'impression que l'élite artistique parisienne se moque de nous, encore une fois.

Avis publié par huys le 20 août 2022

C’est à voir et c’est grandiose. Il faut absolument y aller, d’une part parce que c’est sublime, d’autre part parce que c’est, à ma connaissance, un cas unique dans l’histoire de l’art, puisqu’il s’agit d’une femme qui commence réellement à peindre à l’âge de 80 ans, qui trouve d’emblée sa voie et se révèle être géniale. Ce sont des peintures abstraites très grands formats, avec un souffle magnifique, une forte luminosité, et un mouvement fascinant dans le pinceau. Sally Gabori, est une authentique aborigène australienne, mais sa peinture n’a rien « d’ethnique » comme on pourrait le présupposer. C’est un art résolument moderne. Elle a commencé à peindre alors qu’elle vit dans une sorte d’Ephad. Elle est donc au cœur de l’intersectionnalité : femme, aborigène, vieille de surcroit. Elle n’a eu besoin de personne pour se révéler – si ce n’est la fréquentation sur le tard d’un atelier d’art et d’artisanat. Cela veut dire que tout le discours sociologique actuel sur l‘intersectionnalité, évidemment mâtiné de bourdieusisme, c’est largement du flan. Cela veut dire aussi que le génie n’a pas besoin de subventions étatiques pour éclore. Peut-être même que ces dernières étouffent le génie. Finalement, à l’autre extrémité de l’échelle des âges, on peut dire qu’elle fait pendant à Basquiat.

Avis publié par Jérôme le 14 août 2022

Très belle exposition.

Avis publié par Pia le 10 août 2022

Beautiful touching paintings 💛

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